• Source :
    http://www.o-p-i.fr/parlonsen/parlons-en/agriculture/les-vies-de-jardins-a-saint-urcisse/



    Dimanche 14 Novembre 2010 à Saint-Urcisse (81630)

    VIDE-JARDINS

    CHANGE PLANTES, GRAINES ET BULBES

    ATELIER DE LAND ART

    EXPOSITION D’ŒUVRES DIVERSES AUTOUR DU JARDIN ET DE LA NATURE :

    BRODERIES, PEINTURES, SCULPTURES…

    RENDEZ-VOUS DES JARDINIERS AMATEURS

    Animations, dégustation de soupes, échange de recettes à propos des courges…

    Voici autant d’occasions offertes pour s’informer, partager, découvrir, échanger, et comme dit le poète « Préparer (en secret) le printemps », en profitant de l’automne.

    Voir les conditions  de participation en cliquant ici !

    Téléchargez le bulletin d’inscription en cliquant ici !

    Contact : Comité des Fêtes de Saint-Urcisse
    Courriel : mc.mate@orange.fr

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  • Source : http://www.bastamag.net

    Par Agnès Rousseaux (16 septembre 2010)

    Vitamines A, B ou C, Oméga 3, oligo-éléments, fer... Les nutriments sont indispensables à notre organisme et à sa longévité. Plusieurs études nous alertent sur la faiblesse des fruits et légumes « modernes » en nutriments. Alors qu’une pêche suffisait en 1950 pour absorber une bonne ration de vitamine A, il faudrait aujourd’hui en croquer une vingtaine ! Où sont passées ces vitamines ? Que disent les chercheurs ? L’industrie agro-alimentaire en profite-t-elle ? Basta ! a mené l’enquête.

     

    « Mangez au moins 5 fruits et légumes par jour », recommande le Programme national nutrition santé. Peut-être faudra-t-il bientôt en manger cinquante... Côté nutriments, nos aliments semblent montrer quelques faiblesses. Prenez une orange : celle des années 2000 aura sans doute meilleure mine que les oranges des années 50. Et pourtant… L’orange moderne contient cinq fois moins de fer. Idem pour les pêches. Plusieurs études révèlent cette perte de « densité nutritionnelle ». C’est la quantité de nutriments (vitamines, minéraux...) qu’un aliment contient comparé à son nombre de calories. Des chips ou une pizza ont, par exemple, une très faible densité nutritionnelle comparés à des lentilles ou des brocolis [1]. Ce problème commence à être soulevé aux États-Unis, au Canada et en Grande-Bretagne (voir en fin d’article). En France, silence radio du côté des pouvoirs publics et des instituts de recherche. Nos fruits et légumes échapperaient-ils à cette malédiction ?

    Vitamine A : 1 pêche de 1950 = 26 pêches de 2010

    Depuis 1950, des chercheurs mesurent le contenu nutritionnel de l’alimentation. À côté des glucides, protides et autres lipides, la présence de micro-nutriments – vitamines, minéraux, oligo-éléments, acides gras et acides aminés – est indispensable à notre santé. Or dans les années 1950, manger une banane, une orange et une pêche, suffisait à pourvoir les « apports journaliers recommandés » (AJR) d’une personne en vitamine A. Aujourd’hui, vu les teneurs en nutriment, il faudrait 5 bananes, 10 oranges, et 26 pêches pour avoir sa dose de vitamine A ! C’est ce que révèle une étude menée au Canada en 2002 et publiée par le premier quotidien du pays, The Globe and Mail, et la chaîne de télévision CTV News. Cette étude compare les tableaux de nutriments publiés à différentes époques, avec les taux de vitamines et minéraux contenus dans 25 fruits et légumes.

    Résultats ? En un demi-siècle, la pomme de terre a perdu plus de la moitié de sa vitamine C et de son fer, plus d’un quart de son calcium. Et 100 % de sa vitamine A, un nutriment indispensable au développement des cellules et au fonctionnement du système immunitaire ! Selon cette étude canadienne, quasiment 80 % des aliments testés ont vu leur teneur en calcium et en fer diminuer.

    Où sont passées nos vitamines ?

    Des chercheurs remettent en question ces analyses, au motif que les mesures se sont grandement affinées depuis un demi-siècle. L’évolution des méthodes de test et le manque de fiabilité des données historiques fausseraient donc les résultats. Mais des études récentes, qui consistent à planter des variétés végétales modernes et historiques côte à côte, avec des pratiques agronomiques comparables, viennent confirmer la perte d’éléments nutritifs dans les aliments. Le rapport Still No Free Lunch de Brian Halweil, du World Watch Institute (États-Unis), publié en 2007 fait le bilan des études existantes. Et met en évidence cette « dilution en nutriments » généralisée.

    Quelles sont les causes de ce phénomène ? Les méthodes agricoles d’abord : l’utilisation intensive de pesticides et d’herbicides, les excès d’engrais qui augmentent la vitesse de croissance des plantes et diminuent proportionnellement le temps de fixation des micronutriments. Les techniques intensives épuisent aussi les sols, dont la teneur globale en nutriments diminue dans certaines zones. En cause également, selon Brian Halweil, les traitements de conservation et les rallongements du temps de transport. Un aliment parcourt en moyenne 2.500 kilomètres avant d’être consommé ! Certains fruits, cueillis trop tôt, n’ont pas le temps de développer les nutriments liés à l’ensoleillement, comme les anthocyanines ou polyphénols, ces composants qui nous protègent contre le cancer ou la détérioration des cellules du cerveau. Quant au taux de vitamine C dans les pommes et abricots cueillis verts : il est proche de zéro !

    Obèse et sous-alimenté

    En cause également, les pratiques de sélection des plantes selon leur rendement. Les agriculteurs préfèrent les plantes qui poussent vite, produisent beaucoup et ont une belle apparence. Mais plus le rendement est élevé, moins la plante dépense d’énergie à absorber des oligo-éléments, et plus la teneur en nutriments est faible.

    Nos régimes alimentaires sont déjà pauvres en nutriments. 70 % de ce que nous mangeons provient de produits industriels, beaucoup moins riches en vitamines. Nous consommons de plus en plus de « calories vides » : des aliments contenant des quantités élevées de gras et de sucre ajouté et très peu de nutriments par calorie. Si même les fruits et légumes ne nous assurent plus notre ration quotidienne...

    Pour Brian Halweil, il s’agit d’un « paradoxe moderne unique » : nous pouvons à la fois trop nous nourrir (en calories) et rester sous-alimenté (en nutriments). Si près d’un milliard de personnes souffrent de la faim dans le monde, plus de 3 milliards – soit la moitié de la planète – subissent une déficience en nutriments. Avec des conséquences qui vont de l’anémie, en cas de déficience en fer, à la cécité pour ceux qui manquent de vitamine A. L’étude Suvimax (Supplémentation en vitamines et minéraux antioxydants) menée de 1994 à 2003 en France par l’Inserm, a testé l’effet d’un apport en vitamines et minéraux antioxydants [2] à des doses proches de celles qu’on peut attendre d’une alimentation saine. Au bout de sept ans et demi, on observe chez les hommes une diminution de 31 % du risque de cancers et une diminution de 37 % du risque de décès. Les nutriments, c’est vraiment bon pour la santé !

    Faut-il manger 3 kg de brocolis par jour ?

    « Pour se développer et fonctionner au mieux, les humains ont besoin d’une diversité d’aliments et de nutriments dans leur alimentation. Notre système immunitaire ne fonctionne pas de manière optimale quand nous sommes déficients en certains nutriments. Notre capacité à éviter les maladies, du cancer au simple rhume, est compromise », souligne Brian Halweil. Selon le ministère de l’Agriculture états-unien, notre « régime alimentaire est plus compromis par la consommation de nourriture industrielle que par le déclin des niveaux de nutriments dans les fruits et légumes » [3]. Est-ce une raison pour laisser nos fruits et légumes se vider de leurs substances ?

    Certains scientifiques pointent le fait que la densité en nutriment baisse dans chaque grain de blé ou la moindre feuille de salade. Mais grâce aux progrès en terme de rendement, il y aurait au final plus de nutriments produits par hectare. Ce qu’illustre le généticien Mark Farnham, spécialiste du brocoli au « US Vegetable Laboratory » : grâce à la taille plus importante des brocolis modernes, on trouve sans doute plus de calcium et de magnésium dans chacun d’entre eux, nuance-t-il. « Mais la plupart des gens ne mangent pas un brocoli entier en une seule fois », rétorque Brian Halweil.

    En France, on s’enthousiasme pour les nano-capsules...

    Du côté de l’Institut national de la recherche agronomique (INRA), ce genre de débat semble bien lointain. « La baisse de densité nutritionnelle des fruits et légumes ? C’est une rumeur, le type d’information qui circule… mais est-ce avéré scientifiquement ? », s’interroge Jean-Michel Chardigny, directeur de l’Unité nutrition humaine de l’INRA à Clermont-Ferrand, la plus grosse unité s’occupant d’alimentation humaine. « Je n’ai pas connaissance d’études là-dessus, ce n’est pas un sujet très documenté », explique-t-il à Basta !... Au moins sept études sur le sujet ont été publiées depuis 15 ans (lire ci-dessous).

    À l’INRA, on travaille surtout sur « le nutriment ». Les chercheurs « sont mal armés pour mesurer la complexité des apports des aliments », justifie Jean-Michel Chardigny. « La question de la densité nutritionnelle ne se pose pas. Il est important que les gens consomment des quantités élevées de fruits et légumes. C’est lié au volume global, pas à la densité », ajoute Cécile Renard, directrice de recherche à l’INRA et responsable d’une équipe qui travaille sur la qualité des fruits et légumes.

    On préfère s’occuper « d’adressage » ou de « vectorisation » : trouver la formulation qui permette au nutriment – des Omégas 3, par exemple – d’aller sur la bonne cible plutôt que de se diluer dans l’organisme. Une façon d’associer les molécules entre elles pour qu’elles ne se dégradent pas de la même façon une fois ingérées. Des recherches qui incluent aussi les nanotechnologies. « Il faut être prudent. On peut court-circuiter la régulation mise en place par l’organisme, avertit Jean-Michel Chardigny. Le fer par exemple, ingéré à l’échelle nano, est absorbé à 100 %, alors que ce taux est de 30 % normalement car il ne franchit pas la barrière intestinale. Avec les nanos, c’est comme si on avait une perfusion en intraveineuse. Cela peut être positif ponctuellement ». Réjouissant, non ?

    Éveillez votre « conscience nutritionnelle » !

    Quand il n’y aura plus de nutriments dans les produits agricoles, on pourra toujours se les injecter manuellement, via des nano-capsules… De quoi révolutionner la configuration des repas de familles ! Autre solution proposée par l’industrie : manger des nutriments artificiels ou des aliments enrichis. « Depuis quelques années et grâce à la mobilisation de l’ensemble des acteurs – corps médical et scientifique, pouvoirs publics, industriels – la conscience nutritionnelle des consommateurs français s’est éveillée », se félicite le Syndicat de la diététique et des compléments alimentaires.

    Selon un sondage mené en 2008 pour cet organisme par TNS Sofres, 37% des Français « consomment des compléments alimentaires afin de conforter leur capital santé ». Un marché qui représente un chiffre d’affaires annuel de plus d’un milliard d’euros (en 2008). Quitte à gérer la santé comme un capital, il peut paraître plus rentable d’acheter des doses de vitamines ou d’oligo-éléments, que d’essayer de repenser les politiques agricoles et alimentaires. Surtout quand cela arrange l’industrie agro-alimentaire. Au moins pourrait-on espérer que les instituts de recherche en France puissent nous dire exactement ce que nous mangeons, et surtout si ces aliments nous nourrissent encore. Ce qui n’est même pas le cas.

    Agnès Rousseaux

    Notes

    [1] Voir la définition du Programme national nutrition santé (PNNS)

    [2] Vitamines E et C, zinc et sélénium, bêtacarotènes.

    [3] United States Departement of Agriculture, Agricultural Research Service : USDA Nutrient for Database Reference, Release 13, 1999

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  • Annexe « PROCESSUS DE COMMANDE »
    Vu lors de la réunion du dimanche 10 octobre.

    En amont :
    Avant de lancer le processus de commande, la Commission « Producteurs/Fournisseurs » réalise le bon de commande en listant des produits, en contactant les producteurs et fournisseurs (et de nouveaux producteurs et fournisseurs) et en vérifiant l’actualité des prix ainsi que la disponibilité des produits.

    Samedi 16 octobre : Chacun-e reçoit son bon de commande vierge

    1 semaine  Chacun-e rempli son bon de commande et fait son addition.

    Samedi 23 octobre : Chacun-e renvoie son bon de commande à la personne référente de la commission « Commande »

    2 semaines La commission « Commande » transforme les bons de commande individuels reçus en bon de commande global.

    Samedi 6 novembre : Le bon de commande global est envoyé à la Commission « Producteurs/Fournisseurs.

    2 semaines La Commission « Producteurs/Fournisseurs » contacte les producteurs et fournisseurs pour vérifier la disponibilité des produits. Si un produit n’est pas disponible chez tel producteur, la Commission « Producteur/Fournisseurs » s’engage à tenter de trouver ce produit chez tel autre producteur. Ensuite, la Commission « Producteurs/Fournisseurs » contacte la Commission « Commande » pour confirmer la disponibilité (ou l’indisponibilité) des produits.

    Samedi 20 novembre : La Commission « Commande » contacte les adhérent-e-s pour leur confirmer ou infirmer la disponibilité des produits (et, si besoin, voir pour une modification de leur commande)

    Chaque personne relais peut commencer à réceptionner les produits (et les stocker).

    Les adhérent-e-s peuvent envoyer leur règlement à la Commission « Trésorerie » : Wil (Castres) et David G (Pont de l’Arn). Les chèques sont à rédiger l’ordre « les Cambusiers »

    1 semaine La Commission « Commande » envoie les Bons de commande individuels et le bon de commande global à la Commission « Distribution »

    1 semaine La Commission « Distribution » commence à mettre en place la distribution.

    Samedi 11 décembre : (le matin ?) DISTRIBUTION !

    Patrice K

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  • Présence :

    - Isabelle F, Sylvain F, Lionel D, Anna A, Pipo, Niko, Martine, Marie V, Patrice K, Wil, Jean S, Maryse, Anne-Marie N, Yvette R, Claude R, Luc, Jonathan.

    Ordre du Jour :



    1) Renforcer les Commissions et repréciser leur rôle :

    Chaque membre des Cambusiers 81 est invité à rejoindre une des commissions, en fonction de ses affinités, de ses goûts, de ses disponibilités, de ses préférences ou de ses compétences (supposées ou réelles !)…

    * Commission « Producteurs/Fournisseurs » :
    Membres : Niko, Sandy A, Patrice K, Anna A, Jean S.
    Référent : Patrice K : ordonaizer@hotmail.com ou 09 50 15 14 75

    Son action consiste à trouver des producteurs susceptibles de correspondre aux attentes des Cambusiers 81, à lister les produits disponibles et potentiellement intéressants pour les Cambusiers 81 et de rédiger le bon de commande en vérifiant auprès des producteurs et des fournisseurs la disponibilité des produits (ainsi que leur prix).

    * Commission « Commande » :
    Membres : Lionel D, Pipo, Xavier G.
    Référent : Lionel D : widmerjeanne@yahoo.fr   

    Son action consiste à envoyer le bon de commande vierge aux membres des Cambusiers 81 et de le recueillir une fois rempli. Ensuite, à sa charge de vérifier auprès de la commission Producteurs/Fournisseurs la disponibilité des produits et de confirmer la validité de la commande aux membres ou de leur annoncer que tel ou tel produit n’est plus disponible et de trouver avec eux une solution.   

    * Commission « Accueil/Organisation »
    Membres : Luc A, Wil, Maryse.
    Référent : Luc A : luc.anberree@yahoo.fr ou 06 33 53 63 08

    Son rôle est
    = d’accueillir les nouveaux (ou potentiels) membres (et d’encaisser les adhésions).
    = d’organiser
    § Les réunions des Cambusiers 81
    § Des animations autour des sujets qui animent les Cambusiers 81 l’alimentation saine, le respect de la Terre (des sols, de l’eau, de l’air…) la solidarité avec le monde paysan, la relocalisation de l’économie, le commerce équitable, la santé…
    § Des rencontres avec « nos » producteurs ou des visites sur leur lieu de travail et de vie…
    = de gérer la « logistique » (blog, communication…) de l’association.

    * Commission « Trésorerie »
    Membres : Wil, David G
    Référent : Wil : courrier.wil@gmail.com ou 05 63 51 37 38 

    Son rôle est
    = d’encaisser les adhésions des membres (que lui aura transmis la commission « Accueil/Organisation »),
    = d’encaisser les commandes des adhérent-e-s,
    = de régler les achats auprès des producteurs/fournisseurs,
    = d’assurer la gestion financière de l’association Les Cambusiers 81,
    = d’être l’intermédiaire entre la Banque et l’association Les Cambusiers 81.

    * Commission « Distribution » :
    Membres : Martine, Marie V, Isabelle F, Sylvain F, Anna A.
    Référente : Marie V : m.vialaret@gmail.com ou 05 63 98 60 65   


    2) Rappel du Blog :

    Cambusiers81.revolublog.com

    Sur ce blog, nous pouvons y retrouver les comptes-rendus de nos réunions. Nous pourrions aussi nous en servir de forum (comme a tenté de l’organiser David G), et y mener des discussions, ce qui éviterait à nos boîtes mails d’être saturées de mails !

    3) Structuration :

    - L’autogestion et l’engagement individuel et/ou collectif sont des moyens à privilégier pour avancer efficacement sans que le travail associatif n’incombe à un groupe restreint de personnes.

    - Certaines personnes voulant rejoindre les Cambusiers 81 vont participer à la prochaine commande en se faisant parrainer/marrainer par certain-e-s d’entre nous.

    - Nous sommes actuellement 24 foyers adhérents + 11 en voie d’adhésion ou en parrainage.
     
    4) Local :

    La première distribution a eut lieu au local de Xavier (allée Bonneville proche de la Chevalière à Mazamet).
    En cas d’indisponibilité de ce local, le Pot Ethique accepte de nous accueillir dans son local de réserve. Nous pourrons entreposer les produits et y organiser la distribution. (Note de Wil : ou chez un des adhérents qui pourrait stocker ?)


    5) Questions Diverses : 

    Caroline a décidé de cesser l’aventure avec les Cambusiers 81 pour se consacrer à un nouveau projet professionnel (pas si éloigné des Cambusiers d’ailleurs !). Elle était membre de la commission « Trésorerie ». Qui voudrait bien la remplacer ?

    Pour améliorer le bon de commande ainsi que nos relations avec le monde paysan local, toutes les idées de produits ou tous nouveaux contacts avec des producteurs sont à transmettre à la Commission « Producteurs/Fournisseurs » par l’intermédiaire de son référent.

    Lors de la prochaine distribution, il est possible d’inviter de futur-e-s ou potentiel-le-s adhérent-e-s afin qu’ils/elles se rendent compte de notre organisation.
     
    6) Processus de commande :

    Voir annexe « Processus de commande ».


    Prochaines dates :

    = Samedi 16 octobre : réception du bon de commande par tous/toutes les adhérent-e-s.
     
    = Samedi 23 octobre : date butoir pour renvoyer le bon de commande à la Commission « Commande ».

    = Samedi 11 décembre : distribution (peut être avancée au samedi 4 décembre, si nous avançons bien !)

    Prochaine réunion :

    = Pas de date fixée, mais nous nous reverrons pour la distribution : le 11 décembre (ou le 4décembre, si nous avons bien avancé !).

    = Il faudra fixer une date pour une réunion quelques semaines après la distribution afin de refaire le point et de nommer une nouvelle personne comme Trésorier/Trésorière.

    = Premier semestre 2011 : Organiser l’AG des Cambusiers 81.

    Patrice K.

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  • Bonjour à tous,
     
    Nous vous communiquons que nous serons présents comme chaque année sur le salon Vins et Terroirs au parc des Expositions de Toulouse du vendredi 5 au dimanche 7 novembre 2010.
    Les horaires d'ouverture du salon sont les suivants:
    - vendredi 5 novembre 2010 de 11h à 21 h
    - samedi 6 et dimanche 7 novembre 2010 de 10h à 19h
     
    Venez nous retrouver sur le HALL 6 - stand C6!!!!
     
    Nous aurons toute notre gamme de bières artisanales: blonde, ambrée, brune à la châtaigne ainsi que notre bière de Noël !!!
     
    Nous pouvons vous envoyer des invitations gratuites en nous faisant parvenir votre adresse postale!
    Pour plus d'infos sur le salon, cliquez sur http://www.salon-vins-terroirs-toulouse.com/
    A très bientôt sur le salon!

    Brasserie des Coteaux
    Le Pech 81630 MONTGAILLARD
    T: 05.63.40.81.01

    Site internet: www.oxit.fr
    Vente directe: de mai à septembre Mercredi et Samedi de 14h30 à 19h

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  • Dimanche 17 octobre 2010, Corinne vous accueille sur son exploitation horticole et sa pépinière, tout près du lac des Auzerals, au lieu dit “La Gravette” (route de Grazac à Rabastens).

    bleu-chlorophyleC’est l’occasion de découvrir un grand choix d’espèces et de variétés originales de plantes vivaces, grimpantes, aromatiques ainsi qu’arbustes et plants de légumes.

    Cette manifestation est organisée en collaboration avec l’association des saveurs rabastinoises et vous pourrez également rencontrer les producteurs au cours de cette journée, de 10 heures à 18 heure.

    Contacts :
    BLEU CHLOROPHYLLE
    Corinne CABANNES 
    Tél. : 05 63 58 67 40

    Association des Producteurs Fermiers du Rabastinois (Les Saveurs Rabastinoises)
    Loubat
    81800 RABASTENS

    Infos fonctionnement...

     

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  • VENTE DIRECTE DE VIANDE EN COLIS:

    « VEAU BIO »

     

    colis de 5 kg = 67,50 €

    COLIS/ASSORTIMENT A 13,50€/kg ( Emballage sous-vide ) :

    RÔTI, ESCALOPES, CÔTES, 1kg de SAUTE, TENDRONS, JARRET, POITRINE.

     

    Vente au détail:

    FOIE EN TRANCHES (la poche de 300 à 350g à 5,50€ ou de 370g à 400g à 7€) , FILET MIGNON à 25 €/kg,

    selon disponibilités:

    CÔTES ou ESCALOPES à 18€/kg

    COLIS 3kg SAUTE à 30€

     

      Livraison le mercredi 20 octobre 2010

    ARRÊT A BRASSACà 15h « fontaine du Griffoul » ou au retour : 18h15

    Livraison à MAZAMET 17h00 à 17h30 au « POT ETHIQUE » (champ de la ville)


    Pommes de terre Monalisa / BIO: 13€ les 10kg ou 30€ les 25kg,

    (tarif pour les clients qui prennent un colis de viande, livrable le même jour.)

     

     

    Eleveur bovins viande en agriculture Biologique dans le Tarn, certifié par ECOCERT:

    MOURET Didier

    commande au: Bouisset

    81260 LASFAILLADES

    05.63.70.97.54 ou jmdmouret@hotmail.fr

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