• Communiqué de presse du 13 décembre 2010


    L’AGRICULTURE BIOLOGIQUE ENCAISSE UN MAUVAIS COUT


    Afin de faire des « économies », le gouvernement fait flèche de tout bois, s’attaquant aujourd’hui au crédit d’impôt pour l’agriculture biologique en le divisant par deux. 
     
    Le projet de loi de finances 2011, qui vient d’être adopté par le Sénat, réduit de 4 000 à 2 000 €  le montant du crédit d’impôt  sur le revenu dont bénéficient les agriculteurs convertis  à l’agriculture biologique. Une mesure drastique à l’échelle des  fermes, sous couvert d’économie d’argent public, mais une économie globale somme toute bien dérisoire comparée aux autres pôles de financement prévu par le projet de loi. 
     
    Ce crédit d’impôt avait comme principal mérite de remettre un peu de justice dans l’attribution des aides, notamment parce qu’il ciblait surtout les petites structures qui n’en percevaient pas ou très peu.  L’annonce du doublement de celui-ci avait été  faite  en fanfare à la suite du Grenelle de l’environnement. Elle n’aura pas été effective bien longtemps…
     
    L’agriculture biologique est aujourd’hui  la plus à même de préserver concrètement et durablement les ressources naturelles, la biodiversité et la richesse des sols.  Cette mesure  financière  est un message très négatif adressé à la Bio et une trahison complète des objectifs affichés par le Grenelle de l’environnement. Cela n’empêche pas la France  de  clamer  son soutien au  développement  du mode de production biologique  afin de  réduire l’usage des pesticides.

    Lancer en 2007, le plan « Agriculture biologique : horizon 2012 » visait à tripler les surfaces cultivées en bio  pour les porter à 6 %  de la surface agricole française en 2012.  On est encore  bien  loin de cet  objectif  puisque les surfaces cultivées en bio s'élevaient fin 2009 à 670 000 hectares… soit seulement 2,6 % de la surface agricole utilisée. Cette coupe franche dans les crédits ne va sûrement pas aider ! 
     
    Alors que la demande française de produits bio va croissant, que  les taux de surface en conversion n’y suffisent pas et que la relocalisation fait des émules, que restera t-il au marché Bio français pour s’approvisionner ? L’importation ? Est-ce vraiment une solution souhaitable et pérenne ? En aucun cas !
     
    Ne serait-il pas plus cohérent d’encourager la production biologique locale ? 
     
    Nature & Progrès, la Confédération Paysanne  et la  Fédération Nationale d’Agriculture Biologique (FNAB) demandent vivement à ce que le Ministère de l’économie revoie sa copie, en accord avec les  annonces du Grenelle.
     
    Les exemples ne manquent pas pour affirmer que les économies de bouts de chandelle d’aujourd’hui se paieront au prix fort demain.

     

    Contacts presse :


    Nature & Progrès :

    Richard Marietta (Président) richardmarietta@orange.fr
    Elodie Bralia e.bralia@natureetprogres.org
     

    FNAB :

    Dominique Marion (Président) mariondominique@yahoo.fr
    Julien Adda (Délégué Général) jadda@fnab.org

    Confédération Paysanne :

    Philippe Colin (porte-parole) philippe.collin3@wanadoo.fr
    Roxanne Mitralias rmitralias@confederationpaysanne.fr

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  • SOUTIEN À CHRISTIAN JACQUIAU
     
    Le 16 décembre 2010.
     
    Christian Jacquiau est économiste, journaliste et écrivain (« Les coulisses de la grande distribution », 2000 – « Les coulisses du commerce équitable », 2006). C’est un esprit libre. L’association Max Havelaar France l’a assigné pour diffamation suite à la publication d’un article titré « Commerce équitable : un attrape-bobo ? » publié dans l’Echo des savanes en juin 2008. En fait, le journaliste qui l’a interviewé était un imposteur… Mais Max Havelaar a obtenu la condamnation de Christian Jacquiau le 21 juin 2010. Il a, à juste titre, décidé de faire appel, car il n’est pas question pour lui d’accepter une sentence rendue dans un tel contexte.
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  • Bonjour à tous,

    Voilà après des temps difficile, je compte transformer mon activité en verger pédagogique, pour travailler avec les écoles, CAT, groupes etc, du coin, ainsi que des formations taille, greffage autour du verger. Puis vendre des fruits à terme.

    C'est pour cela que je veux faire de la place à la pépinière en vendant tout ce dont je n'ai plus besoin...


    INVENTAIRE GRAND DÉSTOCKAGE
    2010 - 2011

    Cerisiers

    Noire de Meched : Croquant, très bonne qualité gustative. Maturité deuxième semaine de juin,
    polinisateur Summit.

    Coeur de boeuf : Chair ferme rouge pâle, jus rouge, à saveur équilibrée en sucre et acidité.                                 
    Maturité deuxième et troisième semaine de Juin.

    Verdée : Petite cerise sucrée, ronde, rouge prononçé, chair rouge, moyennement sucrée, acidulée. Trés précoce avant Burlat deuxième quinzaine de Mai.

    Griotte : Cerise rouge très juteuse, à confiture, jus jaune rosé plus sucrée que G. de Montmorency. Très tardive troisième semaine de juin.

    Napoléon : Excellent pollinisateur de Burlat. Bigarreau bicolore, chair ferme jaune, croquante et sucrée. Maturité mi-juin, polinisateur Burlat.

    De juillet : Chair rosé à rouge, peu ferme, croquante et juteuse, tres sucrée


    Pruniers

    Myrabelle de Nancy : Chair dorée excellente qualité gustative. Maturité fin de deuxième semaine à  quatrième
    semaine d’août.

    Prune d’Ente : Chair jaune un peu verdâtre, juteuse, très sucrée, très parfumée, à goût bien caractéristique. Maturité échelonnée à partir de mi-août.


    Pommiers

    Reinette d’Espagne : Blanche à chair très lâche, acidulée sucrée, très parfumée. Maturité fin-septembre.

    De l’estre : Variété cultivé, identique à reinette de Brive, de calibre plus petit.

    Pomme pierre : Jaunâtre, ferme, moyennement juteuse, acidulée, très sucrée, parfumée, de bonne qualité.

    Reinette d’Angleterre : Pomme de garde par excellence, se déguste en fin d’hiver et printemps, chair mi-tendre, juteuse, sucrée et parfumée.

    Museau de lievre blanc : Arbre de vigueur moyenne. Pomme plutôt blanche à maturité, juteuse, consistante, équilibrée assez parfumée. Maturité mi-septembre.
     

    Sainte Germaine : Acidulé sucré très juteux et parfumée. Maturité tardive, fin décembre.

    De Graine : Très juteuse acidulée moyennement sucrée.Maturité troisième semaine d'octobre.

    Saint Jean : Fruit vert-pâle devenant jaune, très tendre, très juteuse, très acidulée, Exellent frit à
    la poêle.

    Court pendu rouge : Superbe pomme rouge violacé, d’un bon volume, au goût très fruité et bien parfumé , chair ferme très savoureuse. Culture facile, bonne résistance aux maladies, floraison très tardive.
     

    Reinette de Pons : Chair très ferme très sucrée et juteuse, moyennementacidulée. Maturité fin décembre-janvier se conserve tard (avril).

    Api étoilé : Lavé de rouge violacé à l'insolation, chair dure à la cueillette devenant très ferme, croquante, acidulée, sucrée. Maturité janvier en cave, consommation des plus tardives.

     

    Poiriers

    Beurré Hardy : Fruit Plutôt rond de calibre moyen, vert tendre, chair fine sucré, juteux, fondant. Maturité début septembre.

    Pérot : Sucrée sans acidité, conservation très courte. Maturité 1ére quinzaine d'août, ne devient pas blet.

    Poire coing : N’a que le forme du coing, croquant, fondant à plaine maturité, juteux et sucrée. Maturité fin septembre.

    Beurée superfin : Chair d'une très grande finesse, très fondante, très juteuse, acidulée et bien sucrée, très parfumée. Maturité fin septembre.

    Doyenné du comice : Riche en sucre et acidité, très juteuse, considérée comme la meilleure de l'espèce. Maturité tardive octobre.

    Plants d’ornement ou haie


    Noisetier
    Frêne commun
    Chêne vert
    Alisier torminal
    Viorne lentane
    Chêne blanc
    Cornouiller sanguin
    Sureau
    Erable champêtre
    Merisier
    Cerisier de Sainte lucie
    Pommier franc
    Poirier franc
    Framboisiers
    Heritage

    ...

    Ces arbres ont en majorité deux ans et avaient été produit sous mention Nature et Progrès.

    Je fais des journées d'ouverture les mercredi après-midi.

    Quelques informations en plus :

    La pépinière est à Guitalens(81) , prendre chemin des gravières en face de la pharmacie, après la poste à droite, en venant de Lavaur,et apres
     le pont sur l'Agout à gauche en venant de Castres, faire ~2kms et prendre chemin de terre en face du château de Caudeval (chemin de l'eau).

    Prix des arbres : 14€ pour les scions (tiges non-rabattues)  de deux ans, et selon leurs hauteurs. Ouverture les mercredis après-midi ou sur rendez-vous.

    Rabais possible au-delà de cinq arbres achetés.

    Voilà si vous avez des questions sur les variétés ou autre hésitez pas à me joindre au 05-63-75-27-95
    julien.oziol@nordnet.fr

    www.fruitavenir.com  

    Julien

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  • Bonjour

    Vous trouverez en téléchargement la version 2010 du guide des agriculteurs bios de l'Aveyron vendant en direct au consommateur.

    En espérant que vous y trouverez votre bonheur !

    Le Conseil d'Administration de l'Apaba

    Association des Producteurs Agro-Biologiques de l'Aveyron
    Carrefour de l'Agriculture
    12026 RODEZ CEDEX 9
    +(33) 05 65 68 11 52
    FAX : 05 65 68 11 52
    apaba@wanadoo.fr

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  • Salut à tous les Cambusiers 81.

    La commission-producteurs-fournisseurs dans l'optique de connaître les manières de produire, de travailler, etc, (et de renseigner ses adhérents au maximum à ce niveau) va essayer désormais de rendre visite à des producteurs figurant sur son bon de commande.

    Ainsi que de potentiels nouveaux producteurs susceptibles de rejoindre les Cambusiers 81.

    Ces visites seraient menées de manière assez régulière (Une fois par mois). Il a été décidé lors d'une réunion de la commission producteurs-fournisseurs d'ouvrir ces visites à tous les autres adhérents du groupement. Attention, ce ne sont pas des visites "ludiques" mais bien des visites ou un certain nombre de questions assez pointues seront posées au producteur sur ses pratiques agricoles ou artisanales.

    Avec les trajets, il faut compter environ une demi-journée. Pour limiter les déplacements, on opterait donc si possible pour des journées avec visites de deux producteurs, un le matin, l'autre l'après-midi, avec pique-nique ou autre repas le midi.

    ...

    ¤ La première visite a eu lieu le samedi 20 novembre ou un petit groupe a pu rendre visite à un apiculteur peut-être futur du bon de commande, à St Etienne d'Albagnan, dans l'Hérault le matin. Puis non loin de là aux Jardins du Salvet sur la commune d'Olargues. Nous sommes en train de plancher sur le compte-rendu qui formera les deux premiers descriptifs des producteurs.

    Et donc par conséquent le début d'un catalogue producteurs-fournisseurs accessible à tous ceux qui souhaiteraient en savoir plus, par exemple lors du remplissage du bon de commande !

    ¤ Je vous envoie donc ce message afin de vous solliciter pour la deuxième de ces dites visites qui aurait lieu samedi ou dimanche prochain (4 ou 5 décembre). Le déplacement aura lieu probablement à la ferme du Plateau des Lacs, sur la commune d'Anglès, plutôt sur le secteur de Mazamet – Labastide Rouairoux.

    Ce sont les producteurs et transformateurs de produits à base de canard. L'autre producteur serait La métairie basse, producteurs de châtaignes et sous-produits à base de châtaigne, situés non loin du premier, à Courniou-Les Grottes.

    Dites-moi si vous souhaitez participer, et si c'est le cas, quel jour du samedi 4 ou dimanche 5 vous arrange le plus. Pour cela, contacter le référent de notre commission,
    Patrice Kappel,
    ordonaizer@hotmail.com
    (0950151475)

    Enfin, nous souhaitons également recueillir auprès des adhérents tous leurs désirs, souhaits, idées de questions à poser aux producteurs. Nous allons essayer d'en extraire une sorte de questionnaire de base... En gros, nous pourrions enregistrer tout ce que vous souhaiteriez voir apparaître comme info sur les feuilles descriptives des producteurs.


    Alors, à vos propositions!! Pour cela, également contacter le référent de notre commission,
    Patrice Kappel,
    ordonaizer@hotmail.com

    Pour la commission Producteurs-Fournisseurs,
    Niko

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  • Bruxelles - Grande victoire pour les lobbies de l’industrie pharmaceutique :

    Les plantes médicinales bientôt interdites dans l’UE !
    Du Site Votre Santé - 5 octobre 2010 -

    Disparition programmée de l'homéopathie, la phytothérapie, la gemmothérapie, les plantes de Médecine chinoise, l'herboristerie, l''aromathérapie, extraits de plantes, eaux florales, elixirs, macérats, oligo-thérapie pour les faire rentrer dans la Pharmacie...


    C’est quasiment fait ! Nous allons voir disparaître les préparations à base de plantes, ainsi que la possibilité, pour les herboristes, de les prescrire.


    L’industrie pharmaceutique, qui depuis quelques décennies tente d’éliminer toute concurrence, a presque atteint son but. Le 1er avril 2011— dans moins de huit mois — pratiquement toutes les plantes médicinales seront illégales dans l’Union Européenne. L’approche adoptée aux Etats-Unis est un peu différente, mais a le même effet dévastateur. Les gens sont devenus des réceptacles pour toutes les cochonneries que l’industrie pharmaceutique et l’agrobusiness choisit de déposer, et nous n’avons d’autre choix que de payer le prix qu’ils demandent.
     
    L’industrie pharmaceutique et l’agrobusiness sont presque arrivés à contrôler chaque aspect de notre santé, depuis la nourriture que nous mangeons jusqu’à la façon dont nous nous soignons quand nous sommes malades. Soyez-en sûrs : cette prise de contrôle prendra tout ce qu’il reste de notre santé.

    Dès le 1er avril prochain

    Dans un des pires poisson d’avril de tous les temps, la directive européenne pour les produits à base de plantes médicinales traditionnelles (THMPD), décrétée le 31 mars 2004, réglemente l’usage des produits à base de plantes qui étaient auparavant librement échangés.

    Cette directive demande à ce que toutes les préparations à base de plantes soit soumises au même type de procédure que les médicaments. Peu importe si une plante est d’un usage courant depuis des milliers d’années. Le coût de cette procédure, estimé à 90 000 à 140 000 euros par plante, est bien au-delà de ce que la plupart des fabricants peuvent payer, et chaque plante d’un composé doit être traitée séparément.

    Peu importe si une plante utilisée depuis des milliers d’années est sans danger et efficace. Elle sera considérée comme un médicament. Bien sûr, les plantes sont loin d’être des médicaments. Ce sont des préparations faites à partir de sources biologiques. Elles ne sont pas nécessairement purifiées, car cela peut modifier leur nature et leur efficacité, comme pour tout aliment. C’est une distorsion de leur nature et de la nature de l’herboriste de les prendre pour des médicaments. Cela, bien sûr, ne compte pas pour le monde pharmaceutique européen contrôlé par Big Pharma, qui a gravé le corporatisme dans le marbre de sa constitution.


    Le Dr. Robert Verkerk de l’Alliance for Natural Health, International (ANH) décrit le problème qui se pose si l’on demande à ce que les préparations à base de plantes répondent aux mêmes normes de conformité que les médicaments :


    Faire passer un remède classique à base de plantes, provenant d’une culture médicale traditionnelle non-européenne, au travers du système d’autorisation de mise sur le marché de l’UE, s’apparente à faire passer une cheville carrée dans un trou rond. Le système de régulation ignore les traditions spécifiques et n’est donc pas adapté. Une adaptation est requise de toute urgence si la directive est discriminatoire à l’égard des cultures non-européennes et viole par conséquent les droits de l’homme.

    Le droit commercial

    Pour mieux comprendre comment cela peut se produire, il faut savoir que les lois du commerce ont été au centre des initiatives visant à mettre tous les aspects de l’alimentation et la médecine sous le contrôle de l’industrie pharmaceutique et de l’agrobusiness.

    Si vous avez suivi ce qu’il s’est passé aux Etats-Unis concernant le lait cru et la Food and Drug Administration (FDA) qui déclare que les aliments se transforment par magie en médicaments quand on affirme qu’ils sont bons pour la santé, vous avez pu remarquer que la Federal Trade Commission (FTC) a pris part au processus.

    Les aliments et les médecines traditionnelles sont considérés comme des questions commerciales plutôt que comme une question de droits de l’homme. Cela place les désirs des grandes corporations, plutôt que les besoins et désirs des gens, au centre des lois sur les aliments et plantes. C’est cette distorsion qui transparaît dans les déclarations outrageusement absurdes de la FDA, affirmant par exemple que les Cheerios (des céréales de petit-déjeûner) et les noix sont presque des médicaments simplement parce qu’on dit que c’est bon pour la santé.

    Le but de tout cela est de sécuriser le monde pour le libre-échange des multinationales. Les besoins et la santé des gens ne rentrent tout simplement pas en considération.

    Comment combattre cette intrusion sur notre santé et notre bien-être ?


    -Ce n’est pas chose faite, du moins, pas tout-à-fait. Si vous tenez aux plantes, et si vous vous souciez des vitamines et autres suppléments, agissez s’il-vous-plaît ! Même si ces questions vous semblent sans importance, pensez aux gens pour qui ça l’es ! Doit-on leur interdire le droit au traitement médical et aux soins de santé de leur choix ?

    L’ANH lutte activement contre ces intrusions. Ils vont actuellement devant les tribunaux pour tenter de stopper la mise en application de la THMPD. Nous ne pouvons qu’espérer qu’ils réussiront, mais l’histoire récente montre qu’aucune man½uvre légale ne peut s’opposer à ce rouleau compresseur. Nous ne pouvons pas nous asseoir et attendre les résultats de leurs efforts. Nous devons voir leurs efforts comme faisant partie d’un tout, dans lequel chacun de nous joue un rôle.

    C’est à vous — à chacun d’entre vous — d’agir. Envoyez une lettre ou un message à votre député Européen en déclarant, en termes non équivoques, que vous soutenez fortement l’action de l’ANH pour stopper la mise en application de la THMPD et que vous espérez qu’ils vont aussi prendre position pour les droits des gens à choisir leurs remèdes médicinaux.

    Imaginez-vous devant vos enfants ou petits-enfants vous demandant pourquoi vous ne l’avez pas fait !  Comment allez-vous leur dire que leur bien-être ne vous intéressait pas ?  Comment allez-vous leur dire que regarder la dernière émission de télé-réalité importait plus que de consacrer quelques instants à écrire une simple lettre ?


    C’est seulement en luttant activement que cette farce contre votre bien-être peut être stoppée. Notre droit à protéger notre santé et celle de nos enfants est sur la balance. Si vous vous souciez du bien-être de vos enfants et petits-enfants, vous devez agir. Exprimez-vous, car maintenant, c’est le moment de vérité !  Vous pouvez rester assis et ne rien faire, ou vous pouvez vous exprimer.

    Et après l’avoir fait, parlez-en à toutes les personnes que vous connaissez. Dites-leur qu’il est temps d’agir. Il n’y a vraiment pas de temps à perdre !
     
    Autant de raisons de signer la pétition ci-dessous en faveur de la liberté en matière de thérapeutique des malades et des médecins et à faire suivre cette information à vos contacts.

    Adresse de la pétition : http://www.lapetition.be/petition.php?petid=8350

    Pour la liberté en matière de thérapeutique des malades et des médecins...

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