• Source : http://www.printemps-associations-citoyennes.net/

    Pour un Printemps des Associations Citoyennes

    Appel à la mobilisation !

    Les associations sont aujourd’hui menacées dans leur existence même, alors qu’elles constituent l'un des piliers de la vie culturelle, sociale et démocratique. Elles sont aujourd'hui durement frappées par les plans de rigueur successifs. Les interventions de l'État et des collectivités connaissent une nouvelle régression, qui se traduit par la disparition de très nombreuses associations et de nombreuses pertes d'emplois (26 000 en 2010, combien en 2011 ?) Leurs adhérents ont de moins en moins la possibilité de participer au financement des associations et de leurs des actions, et la crise accroît un repli individualiste et corporatiste qui pénalise l’engagement et le soutien des adhérents aux associations.

    Cela s'ajoute à des politiques publiques qui depuis 10 ans méprisent la vie associative en assimilant les associations à des entreprises commerciales, en les restreignant à un rôle de prestataires ou de sous-traitants, en les obligeant à se regrouper sous la contrainte, alors que la diversité associative est un trésor national, en multipliant les appels d'offres au détriment de relations partenariales.

    Tout cela est inacceptable.

    Pour reconstruire une société solidaire et fraternelle

    Nous, Collectif des Associations Citoyennes, appelons les associations  à un printemps des associations citoyennes à se mobiliser au cours de prochains mois :

    - Pour défendre la liberté d'association inscrite dans la déclaration des Droits de l'Homme, dans la Constitution et dans la charte européenne des droits fondamentaux, qui ne peut s’exercer que si les pouvoirs publics leur en donne la possibilité effective

    - Pour lancer sur leur territoire un débat public sur l’avenir des  associations et leur contribution au bien commun, avec leurs adhérents et localement avec les élus, pour souligner combien elles sont les acteurs indispensables de la participation des citoyens à la vie publique et commune. Les associations représentent également l’essentiel de l'économie sociale et solidaire. Mais elles produisent aussi et surtout des richesses immatérielles. Elles ne sont pas des entreprises commerciales. Elles constituent enfin des espaces de confiance, de réciprocité, d'éducation citoyenne et de solidarité qui donnent une vie plus pleine à 16 millions de bénévoles.

    - Pour demander aux futurs députés et au gouvernement futur d’accompagner ce nécessaire renouveau à travers une véritable politique associative en reconnaissant le rôle fondamental des associations dans la société, en mettant en place de nouvelles modalités de financement et une nouvelle législation qui remplace la circulaire Fillon et revienne sur certains articles de la réforme des collectivités territoriales, à partir des propositions du collectif des associations citoyennes.

    - Pour développer des relations partenariales avec les collectivités, pour répondre à des enjeux territoriaux communs par un dialogue et une contractualisation dans la durée. Plus la crise s'aggrave, plus les associations citoyennes sont indispensables pour résister, inventer des solutions, et construire un monde plus juste et plus humain.

    Nous appelons toutes les associations qui travaillent au bien commun et contribuent à la transformation de la société, à rejoindre le Collectif des associations citoyennes afin de créer les conditions pour faire advenir un partenariat renouvelé et fructueux entre les associations et les collectivités.

       
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  • Le programme du SAMEDI 7 Avril est enfin là....une multitude de choses pour ravir nos petits intérêts...des surprises sonores, des temps conviviaux à partager, des graines et des plants à amener et à échanger, des ateliers proposé par des professionnel sur le compost, la construction de butte, le traitement des plantes et une approche sensorielle du sol...Tout un programme...!!!

    Plus, en fin de journée -17h30 : la projection du FILM  "La révolution des sols vivants" de Yann Grill et Perrine Bertrand. Le débat est animé par Bernard Bertrand, paysan écrivain par la suite...

    Alors amoureux du jardin ou curieux de la vie...nous vous invitons à venir fourmiller à la grillière (Giroussens) le Samedi 7 avril toute la journée....

    Téléchargez et diffusez le flyer par ici !

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  • !! Avis aux amateurs de produits frais de qualité, de bonne bouffe et autres locavores !!

    Le Verger de Foncoussières vous ouvre ses portes pour vous proposer ses fruits, légumes, viandes, charcuteries, volailles, fromages, lait, farines, vins, oeufs, conserves...

    Tout ce que vous pourrez trouver dans notre magasin fermier est produit localement en agriculture raisonnée ou biologique.

    Nous pratiquons les mêmes prix que les producteurs pour vous garantir la meilleure qualité au meilleur prix !

    Découvrez le magasin, notre exploitation fruitière, notre fonctionnement, les horaires, et plein d'autres infos sur www.vergerdefoncoussieres.com/

    A très bientôt !

    Le Verger de Foncoussières

    Foncoussières
    81800 Rabastens

    05 63 40 69 64

    info@vergerdefoncoussieres.com

    Vous souhaitez recevoir toutes les infos du Verger par mail ? Dates de maturité, produits en commande, développement du magasin... Ecrivez-nous à l'adresse ci-dessus !

     

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  • Les Cambusiers ont adhéré à l'association Suan Thaï, qui nous fourni ponctuellement, du thé (voir article concernant) issu de commerce équitable avec des paysans Thaïlandais.

    Nous faisons donc passer une annonce de Suan Thaï à nos adhérents (par le biai de cet article !), pour, en l'occurence, une commande de riz...

    Voilà le message :

    Le riz est arrivé au Havre et sera bientôt dans le Tarn.

    Il s'agit d'un riz blanc de qualité biologique,  Hom Malee, une variété locale qui bénéficie de la garantie d'authenticité du gouvernement thaïlandais.

    Ce riz fondant, très fruité est cultivé par une communauté villageoise dans le nord de la Thaïlande, à environ 50 Km de nos producteurs de thé.

    Le prix est de 4,00€ le Kg.

    Passez vos commandes.

    Nous sommes à votre disposition pour tous renseignements. 05 67 67 55 71 - 05 63 47 28 84

    Cordialement.
    Patrick Patinier.

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  • Campagne pour une loi de reconnaissance positive des droits des agriculteurs par la libération des semences paysannes et fermières

    Le colloque des 50 ans de l’UPOV* (* Union pour la protection des obtentions végétales) organisé à Paris par le GNIS** (** Groupement National Interprofessionnel des Semences et plants), l’INRA et le Ministère de l’Agriculture est pour les paysans, les environnementalistes et les consommateurs une véritable provocation à l’heure de la contestation de la « loi semences » votée sans débat démocratique le 28 novembre 2011. 

    Le collectif « Semons la biodiversité » a réaffirmé à l’occasion de ce colloque que ressemer et échanger ses semences à partir de sa récolte est l’acte fondateur de l’agriculture et à l’origine de toute la biodiversité cultivée. C’est une liberté fondamentale inscrite dans le TIRPAA*** (*** Traité International sur les Ressources Phytogénétiques Pour l’Alimentation et l’Agriculture). Les paysans ont été les premiers sélectionneurs et conservateurs de semences et revendiquent ce rôle.

    Parce que la nouvelle loi semences a été préparée sans nous, et contre nous, nous avons refusé de débattre dans ce colloque qui n’installe à la tribune que ses défenseurs. Nous combattrons cette loi jusqu’à ce qu’elle soit abrogée ! Le collectif « semons la biodiversité » demande à tous les candidats aux prochaines élections présidentielles et législatives de s’engager dans ce sens.

    Nous continuerons à ressemer et échanger nos semences au service de la biodiversité comme nous l’avons toujours fait.
    http://www.semonslabiodiversite.com/

    Cette campagne est portée par une coalition d’organisations qui se sont regroupées sur la base de la plateforme commune du 21 juin 2011.

    Voici les organisations nationales qui ont signé cette plateforme :

    D’autres organisations locales soutiennent cette campagne :

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  • Organisé par le CIVAM* du Tarn (http://www.civam.org/)

    La 13ème édition de l'opération "la France de ferme en ferme" aura lieu les 28 et 29 avril 2012 !

    Daniel et Blandine, producteurs de farinne (et de viande) pour les Cambusiers, participe cette année, à cette opération !
        
    LA BORIE MAIGRE
       
    La ferme est en agriculture bio depuis plus de 20 ans, Daniel et Blandine y élèvent veaux et agneaux, et produisent la farine à partir de leurs céréales ; Jérémie y cultive des légumes de saison en plein champ et sous serres non chauffées depuis plus de 2 ans rejoint depuis peu par Patrick et Elsa qui s'initient aux joies de la boulangerie avec un four à pain mobile.

    Adresse :
    La Borie Maigre
    81360
    MONTREDON LABESSONNIE


    Téléphone :
    06 84 84 12 42

    Site web :    
    www.coutarel.com
    Email :
    odilebru@gmail.com


    D'autres infos ici :

    http://www.defermeenferme.com/

    Voir la carte des fermes du tarn qui participent :

    http://www.defermeenferme.com/rubriques/rubiq_telechargement/stock_cartes_en_pdf/pdf_81.pdf

     

    * CIVAM : Les Centres d’Initiative pour Valoriser l’Agriculture et le Milieu rural sont des associations qui mettent en place des activités dont l’objectif est de maintenir des campagnes vivantes et accueillantes par un développement durable et solidaire. Nés dans les années 50, les CIVAM ont pour vocation d'accompagner les projets de développement rural. Ils ont contribué à la recherche de solutions valorisant au mieux le potentiel humain et productif du milieu rural : diversification des activités, valorisation des produits fermiers, défense de la qualité des produits, notamment par l'agriculture biologique.

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  • Source : Owni.fr

    Le 20 mars prochain, une douzaine d'ONG lanceront en France et en Europe la Semaine sans pesticides. L'occasion de mettre en évidence les dérives réglementaires du gouvernement français. Ainsi, à la faveur d'une discrète directive du ministère de la Santé, désormais l'eau du robinet peut contenir des doses de pesticides en quantité cinq fois supérieures.

    Le 22 février dernier, l’association Générations Futures a révélé l’existence d’une directive du ministère de la Santé, discrètement entrée en vigueur il y a plus d’un an, et qui revoit à la hausse les concentrations autorisées de pesticides dans l’eau potable.  Avec cette modification passée sous silence, la France tolère ces polluants en quantité cinq fois supérieures.

    Une découverte qui devrait animer les débats prévus en France, à partir du 20 mars prochain, à l’occasion de la Semaine sans pesticides, à laquelle prendront part une douzaine d’ONG ainsi que quelques collectivités publiques, dont la Mairie de Paris.

    Car la conséquence de ces changements réglementaires nourrit quelques inquiétudes. Alors qu’en 2009, 34.300 personnes avaient subi des restrictions d’usage du fait de la présence de pesticides dans l’eau, en 2010, leur nombre n’était plus que de 8.939 personnes. Pour Générations Futures, il s’agit d’une “baisse artificielle” due à une “manipulation des valeurs”. En cause, une instruction émise par la Direction générale de la santé le 9 décembre 2010.

    "Pour répondre aux exigences dans la lutte contre la pollution de l’eau, soit on met tout en œuvre pour réduire la présence des substances nocives, soit on préfère remonter les taux et prétendre à une amélioration de la situation. C’est un peu comme si on changeait les degrés sur un thermomètre pour faire croire qu’il fait moins chaud."

    François Veillerette, président du Mouvement pour les droits et le respect des générations futures, s’insurge ainsi contre ce cet “aveu de faiblesse” du gouvernement. Selon lui, en France, l’examen de la qualité de l’eau reste un processus abscons qui pourrait, à l’occasion, générer des interprétations abusives.

    La surveillance de l’eau du robinet, pour déterminer si elle est potable, s’effectue en plusieurs étapes. Le principe consiste à mesurer la quantité de pesticides présente dans un échantillon pour en déduire une concentration en microgramme par litre. L’Union européenne a instauré la directive 98/83/CE en novembre 1998 pour juger de la bonne conformité en proposant des doses maximales en dessous desquelles l’eau est dite de qualité.

    Limites de qualité pour l’eau du robinet, en microgramme par litre (μg/L)
    0,10 pour chaque pesticide (par substance individuelle)
    0,03 pour les pesticides aldrine, dieldrine, heptachlore et époxyde d’heptachlore
    0,50 pour la somme de tous les pesticides en présence

    Lorsque ces exigences ne sont pas respectées, il faut de nouveau tester cette eau et mesurer les concentrations de tous les pesticides en présence. Ces taux vont alors être comparés avec des valeurs de référence, uniques pour chacune de ces substances et qui correspondent à des limites au delà desquelles un risque pour la santé est suspecté. Ces valeurs sont appelées Vmax pour valeurs sanitaires maximales, provenant majoritairement des données de l’Organisation mondiale de la santé.

     

    Depuis 1998, un avis du Conseil supérieur d’hygiène publique de France (CSHPF) prévoyait une interdiction provisoire de consommation :

    - lorsque la valeur mesurée et confirmée dépasse la valeur maximale sanitaire ;
    lorsque le dépassement est supérieur à 20% de la valeur maximale sanitaire pendant plus de 30 jours consécutifs.

    Par exemple, un herbicide comme la Simazine, dont l’utilisation a été prohibée en 2003, a une Vmax de 2μg/L. Si on la retrouve dans les eaux en concentration supérieure à 0,4μg/L pendant plus d’un mois, l’eau ne peut être consommée, “ni pour la boisson, ni pour la préparation des aliments”.

    Revenant sur ces précautions d’usage, la Direction générale de la santé, dépendant du ministère de la Santé, a donc émis le 9 décembre 2010 une instruction qui remplace le précédent avis. Cette note interne, non communiquée aux associations locales, fixe la limite à ne pas dépasser à 100% de la Vmax. C’est l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) qui s’est chargée de déterminer la valeur maximale sanitaire pour chacun des pesticides surveillés. Extrait de l’instruction :

    "L’Anses estime ainsi que l’ingestion pendant la vie entière d’une eau contenant un pesticide à une concentration inférieure ou égale à la valeur sanitaire maximale (Vmax) n’entraîne, sur la base des critères toxicologiques retenus et en l’état actuel des connaissances, aucun effet néfaste pour la santé."

    Suite de l'article ici !

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