• DIMANCHE 30 JUIN, LASGRAISSES (81),

    10h-: visite de la collection de blés paysans de l'association Pétanielle, à Lasgraïsses, lieu-dit Malpas, chez Françoise Bru et Jean Paul François, Florence Peloux Paysanne et boulangère, Jean Yves Marc botaniste au jardin botanique de Toulouse, nous guiderons entre les 47 carrés regroupant cette année :
    10 orges, 1 seigle, 1 petit épeautre, 1 avoine, 1 épeautre, 27 blés, 4 mélanges déjà en culture chez des paysans boulangers et bien sûr, l'ancêtre du blé : l'aégilops !
    Michel Metz fera le point sur la législation actuelle et le droit des paysans et jardiniers de ressemer leurs récoltes .

    A midi, "lo tasta vin" se fera avec le vin du village! , Pour ceux qui le souhaitent, le repas sera partagé et tiré de nos sacs . L'après midi sera consacrée aux projets des semeurs et de l'association Pétanielle (parrainage de variétés, point sur les nouvelles lois semences...).

    Lasgraisses se situe entre Albi et Graulhet ou entre Gaillac et Réalmont . C'est donc au centre du département du Tarn. Des panneaux "BLES" seront installés à partir du centre du village. Mais vous pouvez déjà regarder sur google map si vous avez des doutes sur votre sens de l'orientation !
    A bientôt donc , en espérant que le temps sera clément et permettra a certaines variétés de mettre leurs épis !

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    L'association Pétanielle, adhérente au Réseau Semences Paysannes, s'est donnée pour objet de soutenir la sauvegarde, la gestion in-situ (dans les champs et les jardins) et la promotion de la biodiversité cultivée. Elle regroupe des paysans et des jardiniers . Les jardiniers permettent de produire quelques kg de semences qui sont ensuite destinées à l'expérimentation, puis à la multiplication qui sera prise en charge par des paysans . Cette démarche permet ainsi aux paysans d'accéder à un choix plus grand de semences .

    Par ailleurs , l'association permet de mettre en relation des conservateurs/multiplicateurs et des paysans, de faire connaître la conservation vivante de la biodiversité cultivée et de la représenter vis à vis des institutions locales si nécessaires.

    L'association regroupe une quinzaine de paysans et 120 jardiniers.
    Contact pour la visite : 05 63 81 50 80 francoise.bru@e-kiwi.fr
    Contact pour l'association : 05 81 40 61 75 et 05 63 56 26 65 http://semeursmip.org

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  • NOTE : on peut écouter les émissions "Le son et la forme" sur le Forum Social Tarnais, ou il est question du Revenu de base, en les téléchargent au format MP3 ici :

    Le son et la forme - Forum Social Tarnais 01
    Le son et la forme - Forum Social Tarnais 02
    Le son et la forme - Forum Social Tarnais 03
    Le son et la forme - Forum Social Tarnais 04

    Une initiative citoyenne "évolutionnaire", Gaillac le 28 juin

    Chèr(e)s ami(e)s

    Une idée, ou plutôt un outil de transformation, fait son chemin, se répand et touche maintenant 15 pays de l'union Européenne et mérite qu'on y médite . C'est l'idée d'un revenu universel d'existence , appelé également "Revenu de base".

    Sans prétendre que c'est LA solution, c'est une première pierre pour bâtir une société dont nous pourrions être fiers car elle concrétiserait nos profondes aspirations à un monde plus doux et plus fraternel, où tous auraient un toit et à manger sans avoir besoin de justifier le droit d'exister. LA VIE EST UN DON, PAS UN AVOIR A GAGNER !

    Nous sommes capables, ensemble, de bâtir une autre société, une société plus aimante et moins avilissante, pour peu que nous arrivions à nous unir.

    Nous vous laissons découvrir cette idée par vous même et en imaginer les conséquences
    (tous les renseignements nécessaires sur le revenu de base sont disponibles ci- dessous ).

    L'urgence, aujourd'hui est de participer à l' initiative citoyenne qui consiste en une pétition officielle (avec numéro de carte d'identité) auprès des dirigeants de Bruxelles (nous avons jusqu'à la fin de l'année pour lui accorder notre soutien) afin qu'un débat ait lieu concernant ce revenu de base.

    Si, comme nous, le devenir de l'humanité et de notre planète vous préoccupe, s'il vous plait, prenez le temps de lire la suite. Vous y trouverez tous les liens nécessaires, ils sont le fruit d'un long travail d'un petit groupe de personnes qui n'acceptent pas que l'avidité de pouvoir et la cupidité de certains jouent avec l'avenir de nos enfants et le nôtre.

    Merci par avance
    Marie-Noëlle et Partha

    Films, documents et sites concernant le "Revenu de base" :

    - Film (3mn) : http://www.youtube.com/watch?v=chuYATZm2FQ&feature=player_embedded
    - Film de (7mn) http://revenudebase.free.fr/ + accès au film complet (visible en ligne ou à télécharger)
    - Interview LESOIR.TV (11mn) : http://www.youtube.com/watch?v=oITe5r4YKuU
    - Reportage en Belgique (51mn) : http://www.youtube.com/watch?v=WPckyXDSxgs
    - Le film complet (1h36) : http://www.youtube.com/watch?v=-cwdVDcm-Z0
    - Conférence à Genève de Frédéric Bosqué (Co-créateur des monnaies complémentaires à Toulouse et Montauban)
    expliquant le pourquoi et le comment des monnaies complémentaires et du revenu de base (1h50) :
    http://www.youtube.com/watch?v=aMGFIdJG7lQ
    -Le site officiel en français pour signer : http://basicincome2013.eu/ubi/fr/le-revenu-de-base-les-videos/

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    Message de Frédéric Bosqué :

    Cher-e-s Ami-es

    Comme vous le savez nous avons créé les 2/3 Mars 2013 le Mouvement Français pour un Revenu de Base (MFRB).

    La définition de ce revenu de base que nous défendons tout-e-s,au delà de nos appartenances politiques, philosophiques ou socio-culturelles a été voté lors de cette constituante :

    "Le revenu de base est un droit inaliénable, inconditionnel, cumulable avec d'autres revenus, distribué par une communauté politique à tous ses membres, de la naissance à la mort, sur base individuelle, sans contrôle des ressources ni exigence de contrepartie, dont le montant et le financement sont ajustés démocratiquement".

    Vous trouverez ci-joint les documents officiels de notre Mouvement.

    Tous ont été validé au consensus, sinon au consentement au pire au 2/3 des voix des constituants.

    - La charte : https://www.dropbox.com/s/260g7vw6qao0cfj/Charte-MFRB-defintif.pdf

    - Les statuts : hhttps://www.dropbox.com/s/npeo95xwbwybnkn/Statuts-MFRB-defintif.pdf

    - Le Compte rendu de l'AG Constituante : https://www.dropbox.com/s/x4yz1evegz8v2ks/proces-verbal-MFRB-defintif.pdf

    La première mission du MFRB, avec d'autres mouvements dans 15 pays d'Europe, est de soutenir et d'amplifier la signature de l'Initiative Citoyenne Européenne pour instaurer une revenu de base inconditionnel à tous les citoyens européens. Si vous n'avez pas signé, c'est ici : Accueil - Système de collecte en ligne

    Nous avons aussi besoin maintenant de financer les actions locales et nationales qui nous avons priorisées lors de notre constituante et de montrer que nous sommes nombreux afin de mobiliser tous les acteurs politiques, économiques et ceux encore plus nombreux de la société civile.

    Pour se faire nous vous donnons la possibilité d'adhérer au Mouvement Français pour une Revenu de Base en cliquant sur le lien suivant : revenudebase.net. Vous pourrez choisir parmi trois niveau de cotisation 5, 15, 25 euros et plus. vous aurez le choix entre deux modes de paiement par chèque et par carte bleu ( frais de 1 euro en plus)

    Nous comptons sur vous, car nos volontaires ont besoin de vous pour ancrer au plus profond de notre constitution française d'abord, européenne ensuite, et mondiale enfin ce nouveau droit humain...

    Un jour, une nuit, un enfant viendra au monde et, avec lui son revenu de base inconditionnel à vie. Il choisira une activité non pas pour avoir un revenu mais parce qu'il en aura déjà un ...

    Alors, ce jour là, je pourrais mourir dans le monde dans lequel j'aurai aimé naître ...

    --
    Bien à vous,
    Fred, pour l'équipe des Coordinateurs du MFRB

    06 82 26 68 19
    "les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits.
    Les Distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune."
    1er Article des droits de l'homme de 1789. www.alternativeshumanistes.info
    --

    Jean Pierre Berenguer
    Tel: 06.99.09.07.39

    Le concept central du mouvement de transition est la résilience, c'est la capacité à réagir aux crises et à être autonome.

    https://sites.google.com/site/albientransition/home

    -- Cordialement Jean BOURDONCLE 06 83 70 80 32 - 09 80 66 68 14 jeanbourdoncle@free.fr

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  • Bonjour à tous !

    Afin de réunir tous les produits, nous avons choisis de décaler d'une semaine la date de livraison.
    Voici la date de distribution de la commande 14 : le samedi 29 JUIN de retour à Mazamet au Globe (36 Rue Saint-Jacques, 81200 Mazamet) entre 10h et 12h !
    _vous pouvez porter les produits pour les personnes relais !
    _vous pouvez vous joindre à l'équipe de distribution pour les colis-sages
    _vous pouvez participer aux échanges en tant que membre d'une association
    _vous pouvez venir retirer votre colis et éventuellement régler celui-ci !
    _vous pouvez aussi faire du co voiturage et servir de dépôt pour un membre qui ne peut se déplacer !
    _ proposer des idées
    _ partager un apéro repas à 12h !

    en cas de souci, vous pouvez joindre Martine au 06-22-34-58-75

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  • Marie Claude, ma conseillère pôle emploi :

    « Non Monsieur Paysan n’est pas une profession. L’ordinateur a même répondu que le mot était incorrect. Il propose une quinzaine de vraie profession agricole reconnues : polyculture, maraîchage élevage bovin, élevage porcin…  »
    Elle avait raison la paysannerie c’est bien plus qu’une profession c’est une manière de vivre et de travailler ce sol nourricier, d’effectuer une transmission de savoirs et de savoirs-faire. A l’école, il fallait utiliser agriculteur ou exploitant agricole, le mot paysan (sentant la bouse) était bien trop dégradant pour désigner la profession de nos parents.

    Métayer, laboureur, cultivateur, journalier, tous les ancêtres de mon arbre généalogique ont pourtant cultivé le sol et pris soin d’animaux afin de se nourrir.

    Moi j’ai passé 11 années a étudier la biologie et la neuropysiologie, quelques années dans un musée de préhistoire, j’ai vécu un hiver dans une cabane en bois rond dans la forêt Québecoise avant de redevenir paysan dans la ferme familiale reprise par mes frères.

    Je veux vous conter la paysannerie, les origines de l’agriculture, la révolution verte des 60 dernières années, la vie du sol, les conditions de vies de ceux qui travaillent la mince pellicule de terre qui nous nourri…

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  • Défense des terres agricoles

    Emission du 1er juin 2013 / Catégories : Agriculture, Local

    Description

    Avec : Jean-Yves Torre, paysan et artisan, un des pionniers de l’agriculture biologique en Corse ; Philippe Chansigaud, président de l’Association ADER (Association de défense de l’espace rural) et Benji Dusuc du réseau « Reclaim the fields ».

    Invités

    • Jean-Yves Torre, paysan et artisan, un des pionniers de l’agriculture biologique en Corse
    • Philippe Chansigaud, président de l’Association ADER (Association de défense de l’espace rural)
    • Benji Dusuc du réseau « Reclaim the fields »

    Téléchargez l'émission (format MP3) ici !

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  • Source :  Inf'OGM

    par Christophe NOISETTE, Pauline VERRIERE

     

    La question de l'étiquetage des produits alimentaires contenant des OGM agite depuis plusieurs années les États américains. Après une tentative ratée en Californie [1], l'état du Connecticut vient de voter une loi qui rend cet étiquetage obligatoire, sous conditions. D'autres états devraient lui emboîter le pas prochainement. Un effet boule de neige qui inquiète les industries agro-alimentaires et de biotechnologies, contraintes de changer leurs stratégies.

    Le 3 juin 2013, dans la foulée du Sénat, les députés du Connecticut ont adopté à une très large majorité (134 contre 3) une loi qui rend obligatoire l'étiquetage des produits alimentaires génétiquement modifiés ou issus d'OGM. Elle doit désormais être signée par le gouverneur de l'état, Dannel P. Malloy, qui s'est engagé à le faire rapidement [2]. Si cette loi est une grande première aux États-Unis, son entrée en vigueur n'est en revanche pas immédiate : elle est conditionnée par l'adoption de lois similaires dans au moins cinq autres états dont deux voisins du Connecticut, et représentant au total 25 millions d'habitants (section 3 de la loi). Pour les députés, l'état du Connecticut est trop petit pour faire cavalier seul.

    Seize projets de loi en débat

    Interrogé par Inf'OGM, Tim Bergin, juriste au Parlement du Connecticut, se dit optimiste quant à la possibilité que d'autres états adoptent de telles lois sur l'étiquetage des OGM. Et cet optimisme se comprend au regard des nombreux projets de loi similaires déposés auprès des parlements des états. A l'heure actuelle, Inf'OGM a comptabilisé pas moins de 16 projets de loi en débat (Arizona, Colorado, Floride, Illinois, Indiana, Iowa, Maine, Minnesota, New Jersey, New Hampshire, Oregon, Pennsylvanie, Rhode Island, Tennessee, Virginie et Washington). Et dans trois états, ces lois ont déjà été adoptées par les Députés et sont actuellement examinées par le Sénat... : Alaska (ne concerne que l'étiquetage du saumon GM) ; Hawaï et Vermont (voté le 10 mai, par 99 voix pour et 42 contre). Cependant, dans six autres états (Californie, Maryland, Missouri, Nouveau Mexique et dernièrement New-York), de tels projets de loi ont déjà été déboutés. La bataille pour l'étiqueta ge n'est donc pas gagnée mais n'a jamais été aussi proche de l'être.

    La loi prévoit que nul ne peut vendre ou distribuer soit de la nourriture destinée à l'alimentation, soit des semences pour produire des aliments entièrement ou partiellement génétiquement modifiés, à moins d'être étiquetées comme telle. Cette règle est assortie de nombreuses exceptions : l'alcool, les produits préparés pour être consommés immédiatement, la restauration collective, les produits agricoles en vente directe ou semi-directe, et surtout les produits issus d'animaux nourris aux OGM (lait, viande, œuf)... Cette dernière exception réduit considérablement la portée de cette loi, étant donné qu'aux États-Unis, comme dans l'Union européenne, les OGM servent principalement à nourrir le bétail... Cependant, à la différence de l'Union européenne, de nombreux produits destinés à l'alimentation humaine intègrent dans leur recette des OGM, comme les crèmes glacées avec la lécithine de soja ou les huiles issues de colza ou de soja GM. En cas de non respect pa r le producteur, la pénalité a été établie à 100 euros par jour et par produit non correctement étiqueté.
    Dans une note élaborée par les services du Parlement du Connecticut, le coût de mise en œuvre de cet étiquetage par l'administration de l'état a été « estimé à 117 632 dollars pour les années à venir » dont 80 000 dollars seraient consacrés aux salaires des inspecteurs et d'un juriste à temps partiel.

    Un amendement fédéral pour interdire les velléités locales d'étiquetage ?

    Cette situation ne satisfait pas les entreprises agro-alimentaires et de biotechnologies qui ont décidé de répliquer sur un autre front. Plutôt que de mener une bataille coûteuse (et finalement incertaine) dans chaque état, elles essayent en effet de faire interdire directement au niveau fédéral cette compétence des états. C'est dans la loi d'orientation agricole (Farm bill), actuellement en débat au Congrès, que les lobbyistes ont décidé de battre en brèche la transparence vis-à-vis des produits alimentaires. Sous couvert de liberté de commerce et de non discrimination entre les produits, le député républicain de l'Iowa, Steve King, est en passe de voir son amendement intégré à cette loi d'orientation [3]. L'amendement a déjà été adopté par la Commission « agriculture » de l'Assemblée nationale fédérale. La portée de cet amendement est vaste mais concerne directement l'étiquetage des OGM. Il interdit aux états de prendre des lois qui imposeraient des conditions de production des produits agricoles qui sont vendus sur leur territoire mais produits dans d'autres États. Ainsi, l'étiquetage des OGM pourrait être considéré comme une entrave à la liberté de commerce inter-état et jugé discriminatoire pour les produits des autres états qui n'auraient pas adopté une telle obligation. Les multinationales agro-alimentaires et de biotechnologies n'ont pas réussi à faire interdire l'étiquetage des OGM par le Codex alimentarius au niveau mondial. Réussiront-elles a minima pour les États-Unis ? Réponse courant 2013 date à laquelle la Farm Bill devrait être adoptée.

     

    [1Inf'OGM, « ETATS-UNIS - Les OGM ne seront pas étiquetés en Californie », Christophe NOISETTE, 7 novembre 2012

    [2http://www.governor.ct.gov/malloy/c...

    [3http://www.steveking.house.gov/inde...

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  • Source : Europe1

    Un agriculteur américain a porté plainte contre le géant de l'agrochimie Monsanto, l'accusant de "négligence grossière" et demandant à être indemnisé de pertes de revenus à la suite de l'annonce de la découverte de blé OGM développé par Monsanto aux Etats-Unis. La plainte de Ernest Barnes a été enregistrée lundi dans le Kansas, un Etat agricole du centre des Etats-Unis qui exporte 90% de sa production de blé.

    "Nous nous attendons à ce que d'autres plaintes soient bientôt déposées" sur le même sujet et "il est probable qu'elles soient consolidées" en plainte en nom collectif, a déclaré mardi à l'AFP Warren Burns, avocat de l'agriculteur. M. Barnes demande à être indemnisé à hauteur d'"au moins 100.000 dollars" pour les pertes qui pourraient survenir d'un impact sur les cours des contrats à terme sur le blé, qui déterminent le prix des contrats à l'exportation.

    Cette plaijnte intervient après la découverte, la semaine dernière, de blé OGM, neuf ans après l'arrêt d'un programme de recherche de Monsanto. Les cours du blé ont reculé immédiatement après cette découverte, avant de rebondir par la suite. Le volume des exportations pourrait pâtir de cette découverte. Depuis mercredi, le Japon et la Corée du Sud ont en effet suspendu une partie de leurs importations de blé américain et l'Union européenne a demandé à ses Etats-membres de tester leurs importations de blé américain et de ne pas les mettre en vente si elles comportaient du blé OGM.

    Dans un communiqué, le directeur juridique de Monsanto, David Snively, a estimé que cette plainte était sans fondement et assuré que son groupe se défendrait "vigoureusement" en justice.

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