• Conférence de l'AJET : la nature n'a pas de prix : les méprises de l'économie verte, par Geneviève Azam (mardi 27 novembre 2012 à 20h30)

    « La nature n'a pas de prix : les méprises de l'économie verte » par Geneviève Azam, économiste , membre du Conseil Scientifique d'ATTAC.

    Conférence gratuite qui aura lieu à 20h30, auditorium I, Maison du Multimédia, université JF Champollion, Campus d'Albi, (entrée place de Verdun )

    Organisation : AJET, ATTAC 81, FSU.

    Geneviève Azam, c'est qui ?


     

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  • Conférence : La science à l'écoute de la terre - vendredi 5 octobre 2012 à 20h

    A l'occasion de la fête de la science 2012, l'école des mines d'Albi accueillera une conférence par Claude et Lydia Bourguignon.

    Claude BOURGUIGNON, ingénieur agronome français, par ailleurs conférencier et formateur accompagné de son épouse Lydia BOURGUIGNON, maître en sciences donneront une conférence sur le thème :

    "La science à l'écoute de la terre"

    • à partir de 14h00 aux lycéens du département accompagnés de leurs professeurs
    • à partir de 20h00 au grand public dans le Grand Amphithéâtre

    Les conférences sont gratuites et ouvertes à tous, sous réserve de s'inscrire préalablement auprès de l'École : contact, informations auprès de Rita Franco

    Une billetterie en ligne sera proposée pour la conférence du soir sur le site de l'École des mines fin août 2012.

    En savoir plus et aussi

    Lieu :Albi

    Ecole des mines d'Albi
    Campus de Jarlard
    Route de Teillet
    81000 ALBI

    Claude et Lydia, c'est qui ?

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  • 'C’est certainement le meilleur film sur la colonisation israélienne dans les territoires occupés. Il en retrace l’histoire depuis 1967, montrant notamment son accélération depuis les accords d’Oslo et, plus récemment, à l’ombre du mur. Pour expliquer des images aussi fortes, souvent violentes, il fallait beaucoup de pédagogie : c’est le rôle du commentaire, retenu, et des interviews d’Israéliens et de Palestiniens – personnalités ou hommes et femmes de la rue. Le titre renvoie à la thèse de Zeev Jabotinsky, père de la droite sioniste, qui rêvait dès 1923 de développer la colonisation à l’abri d’« un mur d’acier que la population indigène ne puisse percer »...'

    Le Monde Diplomatique.

    Projection-débat : the Iron Wall

    Invitation d'ATTAC 81 et Comité Palestine 81

    Afin de comprendre, à partir de documents et interviews authentiques, les données réelles de cet interminable conflit...

    Vendredi 24 août à Lautrec au "café plum",(rue de Lengouzy) à 20 heures 30.

    Iron Wall - Film documentaire de Mohammed Alatar - 2006 - 52'

    « Iron Wall » est un documentaire réalisé par une association palestinienne d'appui aux agriculteurs.

    Il donne la parole à des responsables associatifs, paysans, militants pour la paix, journalistes, soldats... israéliens et palestiniens.

    Le film retrace l'évolution de la colonisation des Territoires occupés palestiniens sous les différents gouvernements israéliens, depuis 1967 jusqu'à la construction du Mur.

    La projection aura lieu en plein air (ou à l'intérieur si le temps en décide ainsi), et sera suivie d'un débat.

    entrée libre et gratuite

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  • Un an et demi après la catastrophe de Fukushima, les manifestants se sont rassemblés devant les bureaux du Premier ministre Yoshihiko Noda, à Tokyo.

     

    Plus de mille manifestants se sont rassemblés vendredi devant les bureaux du Premier ministre japonais pour exiger la fin de l’exploitation de l'énergie nucléaire, 17 mois après l’accident de Fukushima. Cette manifestation a été convoquée à Tokyo via l’internet comme presque tous les vendredis soirs depuis des mois.

    «Je suis venu aujourd’hui car je m’inquiète pour la vie des enfants et des générations futures», a déclaré un vieil homme devant la foule via un haut-parleur. Il a osé une comparaison avec les temps difficiles de la seconde guerre mondiale, lorsque les gens du commun étaient forcés d’adopter une discipline militaire et contraints à la pauvreté sous le contrôle strict de l’Etat.

    «A l'époque, la vie des Japonais a été gâchée par des ordres du gouvernement et des grandes entreprises», a-t-il raconté. «Aujourd’hui avec l'énergie nucléaire, le gouvernement et les grandes entreprises négligent la vie des gens».

    Au coeur de la colère des manifestants figurait la décision prise en juin par le Premier ministre, Yoshihiko Noda, de relancer deux réacteurs, pour la première fois depuis l’accident de Fukushima.

    Ces deux tranches, situées dans la centrale d’Oi (centre du Japon), sont les seules à tourner actuellement au sein du parc nucléaire japonais qui en compte 50 au total.

    Les autres sont maintenues à l’arrêt en raison de nouvelles mesures de sécurité exigées par les autorités depuis l’accident de Fukushima, le pire du secteur depuis celui de Tchernobyl (Ukraine) en 1986.

    Cette catastrophe intervenue en mars 2011 dans le nord-est du Japon, après le passage d’un tsunami, a forcé une centaine de milliers d’habitants de la région à quitter leur maison, souvent sans perspective de retour à moyen terme.

    Le principal rassemblement de protestation contre le nucléaire depuis a eu lieu mi-juillet, lorsque de 75 000 à 170 000 personnes se sont retrouvées dans un grand parc de la capitale, selon la police et les organisateurs.

    (AFP)

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  • … ou comment la sécurité routière peut rapporter d'énormes bénéfices aux entreprises qui savent tirer les bonnes ficelles !

    Voilà un scandale qui, s'il était connu d'un grand nombre de Français, ferait sans doute une onde de choc à travers tout le pays...

    Vous savez sans doute que le gouvernement a récemment publié un décret qui oblige chaque automobiliste à détenir dans sa voiture un éthylotest – enfin deux, l'un pour se tester en cas de doute, et l'autre à présenter aux gendarmes en cas de contrôle.

    Officiellement, le but est de lutter contre l'alcoolisme au volant. Tout le monde aimerait voir moins de drames sur la route liés à l'alcool, c'est incontestable. Mais je vais vous montrer qu'il s'agit de bien autre chose ici...

    Alors, voilà ce qui se passe :

    En juillet, une association, "I-Test" se crée pour militer en faveur d'éthylotests obligatoires dans toutes les voitures. Ils interpellent le Ministre de l'Intérieur, Claude Guéant, et hop quelques mois plus tard le décret sort. La nouvelle infraction est créée, avec une amende de 17 euros à la clef.

    Quand on sait qu'il faut des années d'habitude pour obtenir quoi que ce soit quand on est une association, nous avons été saisis par cette rapidité !

    Vous le savez, ici à la Ligue de Défense des Conducteurs, nous enquêtons depuis plus de trois ans sur la répression routière – il ne nous a pas fallu longtemps pour découvrir le pot aux roses !

    Qui sont les membres de cette "association" ? S'agit-il, comme on aurait pu le croire, d'un collectif de familles qui ont perdu un proche sur la route à cause d'un chauffard qui avait trop bu ?

    Pas du tout : ce sont tout simplement... des fabricants d'ethylotests ! Le Président de "l'association" est chargé de mission chez Contralco, le plus grand fabricant d'éthylotests chimiques (les fameux "ballons").

    Et là, il vient de réussir un coup de maître : assurer à sa boîte un marché 100 % garanti sur 38 millions de voitures !

    Le calcul est vite fait : 38 millions de voitures x 2 éthylotests à 1€ pièce = 76 millions d'euros garantis dès l'application du décret en juillet prochain.

    Mieux. Le décret comporte une obligation de norme NF pour les éthylotests... norme que seules deux entreprises détiennent : Contralco, et une société sud-africaine, Red Line Products.

    Son éthylotest certifié est distribué par Pelimex, entreprise dont le dirigeant est... Vice-Président de I-Tests.

    Ah, au fait ! Dans le comité de certification NF éthylotest, on retrouve les deux représentants de Contralco et Pelimex dont je viens de vous parler.

    Voilà : un marché juteux, 100 % garanti, qui va rapporter des millions...

    ... Et nous, on vient nous dire que c'est pour notre sécurité ? Et que si l'éthylotest venait à manquer dans notre boîte à gants, ce serait tellement grave qu'on devrait payer une amende ?

    Franchement, de qui se moque-t-on ?

    C'était déjà la même chose avec les radars : au départ ils sont venus nous dire que c'était pour notre sécurité, et il n'y avait pas de raison de ne pas y croire. Enfin, au début...

    Car vu les bénéfices colossaux que raflent maintenant, chaque année, les grandes entreprises qui installent et entretiennent les radars (plus de 200 millions d'euros par an, directement issus de vos PV), qui peut encore venir nous parler de sécurité ??

    Année après année, les pouvoirs publics tirent un peu plus sur la corde, en se disant que ça va passer, que les Français ne vont rien dire... Alors depuis 2003 et la mise en place des premiers radars vitesse, on a eu les radars feu rouge, les radars tronçon, les radars discriminants, les radars "zones de chantier", les radars mobiles embarqués dans des véhicules en mouvement, etc... L'Etat fait rentrer de plus en plus d'argent, et la cagnotte des entreprises productrices de radars gonfle, gonfle...

    Ces entreprises sont devenues tellement puissantes que, désormais, elles ne se cachent même plus pour faire leurs magouilles : le fameux lobbyiste qui vient d'obtenir le marché du siècle,  avant de se lancer dans le business de l'éthylotest, dirigeait une société de radars ! C'est même lui qui a vendu les premiers radars feu-rouge au gouvernement !

    Quelques entreprises bien placées veulent grossir facilement leur chiffre d'affaire sans prendre de risque, ils sollicitent les pouvoirs publics, lesquels nous jouent la carte de la sécurité routière, et hop le tour est joué, le business est installé, et vous êtes ses clients forcés.

    Comment en est-on arrivés là ? Tout simplement parce qu'à chaque fois qu'ils tiraient un peu plus sur la corde, aucune voix ne s'élevait assez fort pour que ça fasse scandale et que ça s'arrête.

    Mais tout cela n'a que trop duré : quel autre business vont-ils réussir à implanter demain ? L'éthylotest anti-démarrage obligatoire dans toutes les voitures (coût : 1000 euros par véhicule) ? Des boîtes noires comme dans les avions, ou la géolocalisation obligatoire ?

    Ne vous en faites pas pour eux : ils trouveront toujours un prétexte de sécurité routière pour donner mauvaise conscience à ceux qui voudraient contester.

    En vérité, c'est eux qui devraient avoir honte de leurs pratiques. Agiter sous le nez des gens des images horribles d'accidents, profiter du deuil des familles des victimes, pour engraisser un business juteux, ce sont des pratiques inqualifiables !

    Mais tant que des millions de Français ne leur auront pas fait savoir à quel point ils sont indignés, rien ne les arrêtera.

    Nous devons agir dès maintenant, c'est pourquoi je vous demande de m'aider à faire connaître ce scandale au plus grand nombre de Français possible, en faisant passer ce message à tous vos amis, vos proches, ou vos collègues. Ne les laissez pas tomber dans le piège de la propagande des pouvoirs publics qui utilisent la sécurité routière comme un alibi pour engraisser un business juteux.


    Je vous remercie.

    Bien cordialement,

    Christiane Bayard
    Secrétaire Générale
    Ligue de Défense des Conducteurs

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  • Qui sont les vrais délinquants ? où est le vrai scandale ?

    La ville de Gironeau sud de Perpignan dans le nord-est de l'Espagne, annonce avoir installé des cadenas sur les poubelles des supermarchés pour empêcher toute récupération de nourriture.

    Des militants andalous ont pillé les rayons de deux grandes surfaces en vue d'aider les plus démunis. L'initiative provoque un scandale en Espagne. Un vol ? Un acte désespéré ? Une nécessité ? Une revendication?

    La ville de Gironeau sud de Perpignan dans le nord-est de l'Espagne, annonce avoir installé des cadenas sur les poubelles des supermarchés pour empêcher toute récupération de nourriture, un phénomène qui a pris de l'ampleur avec l'aggravation de la crise.

    Pour raison de santé ?

    La mairie indique, dans un bref communiqué, avoir pris cette décision en collaboration avec les propriétaires de supermarchés, "face au risque pour la santé que peut comporter la consommation d'aliments jetés dans les conteneurs et l'alarme sociale que cela provoque".

    "En ce moment, il n'y a qu'un conteneur devant les supermarchés qui est fermé avec un cadenas et qui contient des aliments dont la date de péremption est dépassée ou en mauvais état, afin d'empêcher qu'ils soient récupérés par des indigents", a déclaré à l'AFP un porte-parole de la ville.

    Un phénomène qui s'aggrave avec la crise...

    La mairie de Girone a également mis en place un système d'information destiné à diriger les personnes qui en ont besoin "vers un centre de distribution de nourriture pour qu'on leur offre, de manière urgente, un panier d'aliments de base", a-t-il expliqué.

    Des agents sociaux seront postés près des conteneurs-poubelles pour informer le public. La mairie, qui a lancé cette initiative inédite avec trois grands supermarchés, veut l'étendre à d'autres grandes surfaces, a ajouté le porte-parole.

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  • Source : Midi Libre - AFP - 14/08/2012, 13 h 54 | Mis à jour le 14/08/2012, 15 h 13

    Des papillons des alentours de la centrale de Fukushima et les deux générations suivantes ont souffert de mutations à cause de la radioactivité, ont découvert des chercheurs japonais.

    Environ 12% de petits papillons bleus de la famille des lycénidés exposés à la radioactivité à l'état de larves lors de la catastrophe nucléaire de mars 2011 ont développé des anomalies, notamment des iles plus petites et une malformation des yeux, ont expliqué des chercheurs.

    Des tests à venir sur d'autres animaux

    Ces insectes attrapés non loin de la centrale accidentée Fukushima Daiichi (nord-est) en mai, soit deux mois après l'accident, ont ensuite été élevés en laboratoires à des fins de reproduction. Quelque 18% de la génération suivante a développé des problèmes similaires, a souligné Joji Otaki, professeur à l'Université Ryukyu d'Okinawa (sud).

    La proportion a encore grimpé (à 34%) pour la troisième génération. Six mois après le désastre, un nouveau lot de papillons a été attrapé près de Fukushima Daiichi et cette fois le taux d'anomalie de la génération suivante a été mesuré à 52%, a précisé M. Otaki.

    Les résultats de cette étude ont été publiés dans Scientific Reports, un journal sur internet diffusé par l'éditeur du magazine Nature. "Nous en avons tiré la conclusion claire que les radiations dégagées par la centrale Fukushima Daiichi avaient endommagé les gènes des papillons", a souligné M. Otaki.

    Il a toutefois prévenu que ces résultats devaient être pris avec précaution, précisant que l'effet observé n'était avéré à l'heure actuelle que sur les papillons et sur aucune autre espèce animale ni sur l'homme. Son équipe va mener de nouvelles expériences sur d'autres animaux.

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