• C est parti! Je me lance enfin dans l aventure des stages.

    Pour commencer je propose 2 sortes de stages; initiation à l architecture végétale et initiation à la vannerie. Ces stages se dérouleront sur une journée complète et vous repartirez avec un objet que vous aurez créé.

     

    ARCHITECTURE VEGETALE: samedi 23 février et dimanche 3 mars de 9h à 18h

    Je commence par ces 2 stages car je suis limité dans le temps pour les constructions vivantes.

    Au programme: haie croisée vivante, colonne croisée vivante et plessis.

    Public: Adulte débutant

    Tarif: 50€ par personne

    Le stage aura lieu avec un groupe de 5 à 8 personnes

     

    VANNERIE: samedi 30 mars et dimanche 5 mai de 9h à 18h

    Au programme, confection d un panier rond

    Public: Adulte débutant

    Tarifs: 50€ par personne

    Le stage aura lieu avec un groupe de 4 à 6 personnes

     

    J envisage aussi de proposer des demi journées avec des thématiques sur des petits objets(nichoirs, mangeoires, Plateau à fromage, ...). Si vous avez des idées ou envies n hésitez pas à me les proposer

    Salutations vannières!

     

    Salix au pays des merveilles

    LD lintin

    81140 CAHUZAC sur VERE

    Tel 06/08/37/23/76

    alice@ablink.com

     

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Source : http://www.politis.fr/La-nouvelle-PAC-adoptee-oublie-le,20738.html

    Les 55 milliards d’euros distribués par la Politique agricole commune bénéficient essentiellement à 15 % des agriculteurs.

    Mercredi 23 janvier, la Commission de l’agriculture du Parlement européen a adopté les textes qui devraient régir la nouvelle PAC (Politique Agricole Commune) pour les sept années à venir. Les parlementaires ont examiné 7400 amendements provenant essentiellement des Verts et des partis conservateurs. Les premiers souhaitaient modifier profondément un système qui pénalise la petite agriculture et l’agriculture biologique tandis que les seconds veulent prolonger la politique actuelle qui distribuent 80 % des aides à 15 % des agriculteurs européens.

    Les fonds européens sont essentiellement perçues en France par les céréaliers, les élevages hors-sol et les grandes exploitations intensives dont le « revenu » peut être parfois alimenté à hauteur de 50 % par une aide européenne.

    Après des mois de discussions les conservateurs et les socialistes ont voté en faveur de cette nouvelle PAC. Elle doit être encore approuvée en séance plénière du Parlement européen à Strasbourg au mois de mars. Après avoir été éventuellement modifiée par la Commission de Bruxelles, elle devra être ratifiée par le Conseil des ministres européens qui se prononcera définitivement au mois de juin. Commentaire des socialistes européens : « Ce n’est probablement pas une réforme parfaite mais sans doute la meilleure possible dans une Europe encore largement dominée par des forces conservatrices. »

    Aucune aide supplémentaire pour l’agriculture bio ou de proximité

    C’est le moins que l’on puisse dire puisque les parlementaires écologistes, minoritaires, n’ont pas réussi à obtenir une modification substantielle du système « qui ne fait qu’entériner, dit José Bové, vice-président de la Commission agricole, « le maintien des avantages acquis ». La proposition de développer la rotation des cultures pour réduire le recours aux pesticides et aux engrais de synthèse et donc limiter la rotation des cultures, a été écartée. Les agriculteurs bio et ceux qui veulent se reconvertir ne bénéficieront d’aucune aide supplémentaire qui pourrait faciliter le développement d’une agriculture de proximité, notamment près des grandes villes.

    Les Verts avaient également proposé qu’une grande exploitation ne puisse pas bénéficier d’une aide annuelle de plus de 100 000 euros mais la majorité a décidé de fixer ce maximum à 300 000 euros. Or, explique José Bové, « une telle réduction aurait entraîné une économie annuelle de 7 milliards d’euros qui aurait pu servir à aider, en France et ailleurs, la petite agriculture familiale ». Tout comme elle aurait contribué à enfin inciter à une réduction de la pollution des terres et des nappes souterraines avec la diminution de l’épandage des lisiers nitratés et des pesticides promise par le Grenelle de l’Environnement.

    Au demeurant, cette nouvelle PAC reste parfaitement virtuelle puisque les 27 pays de l’Europe ne se sont pas encore parvenus à se mettre d’accord sur le budget européen pour la période 2014-2020. Ils devraient faire une nouvelle tentative lors du sommet des 7 et 8 février prochain, de nombreux pays insistant pour réduire le montant de la Politique agricole commune qui représente 40 % de ce budget...

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Source : http://locavorespirit.wordpress.com/2013/02/06/les-derniers-chiffres-de-lagriculture-bio-en-france-ce-que-lon-ne-vous-dit-pas/

    C’est surprenant de voir comment les journaux peuvent insister sur les aspects négatifs, parfois… Prenez les derniers chiffres de l’agriculture bio en France. Dans cet article, on titre que la progression du marché ralentit : « la progression aurait avoisiné 5 % en 2012, contre 10 % en 2011. Selon les chiffres publiés mercredi 6 février 2013 par l’Agence Bio, ce marché devrait passer de 3,9 à 4,1 milliards d’euros. Ce qui ne représente encore que 2,4 % de l’ensemble de la consommation alimentaire française«.

    Mais ce que le titre ne dit pas, c’est la suite : « malgré la crise, le nombre de Français consommant du biologique au moins une fois par mois est reparti à la hausse. Selon un sondage de l’institut CSA, il serait de 43 % en 2011, contre 40 % un an plus tôt. Les plus assidus, qualifiés de « bio-quotidiens », représenteraient 8 % de la population française. Et les « bio-hebdos », 15 %. »

    Sans parler de la provenance des produits: « la part des produits bio d’origine française progresse. Un sujet sensible, car nombre de consommateurs sont demandeurs de plus d’information sur la provenance de leurs achats. Et souhaitent s’approvisionner auprès de producteurs locaux. Ils sont 9 sur 10 à affirmer regarder le pays de provenance sur l’étiquette. La part des produits bio importés devrait passer sous la barre des 30 % du marché en valeur en 2012, contre 38 % en 2009 et 32 % en 2011. »

    S‘il est possible de trouver plus de produits bio produits localement, c’est parce que les surfaces cultivées en bio sont plus nombreuses: « le cap du million d’hectares a été franchi en 2012. Soit 3,8 % de la surface agricole utile (SAU) française. Le nombre d’exploitants bio a plus que doublé en cinq ans, pour atteindre 24 400. Ce qui porte leur part dans l’ensemble des exploitations agricoles françaises à 4,75 % (…) D’après l’Agence Bio, cette agriculture représente 57 000 emplois équivalents temps plein, soit 7 % de la main-d’oeuvre agricole française. Un argument non négligeable en cette période de chômage record ».

    A noter: une autre information que j’ai reçue hier au sujet de BioCoop: le leader français de la distribution de produits bio a connu une progression de son chiffre d’affaires de 7% en 2012 avec un chiffre d’affaires de 535 millions € (500 millions € en 2011 et 460 millions € en 2010). L’enseigne compte 340 magasins implantés sur tout le territoire et le réseau prévoit l’ouverture de 20 nouveaux magasins en 2013…

    Je ne sais pas pour vous, mais même si les chiffres restent très bas (!!) il y a quand même quelques progrès… Non ?

    Partager via Gmail

    1 commentaire
  • Dijon, le 12/02/2013

    COMMUNIQUE DE PRESSE

    Un Français, Dijonnais, condamné pour association de malfaiteurs

    Le 12 févier 2013, le tribunal de Dendermonde, en Belgique, a rendu son jugement par défaut et condamné les 11 personnes, militant pour des pommes de terre non OGM, comme association de malfaiteurs.

    Au pénal, le tribunal a suivi le réquisitoire du procureur nous condamnant ainsi à des peines allant de 8 mois de prison ferme à 6 mois avec sursit.

    Au civil, le tribunal a réévalué les 191 000 € de dommages et intérêts réclamés par les parties civiles à 25 000 €.

    Il s’agit de la criminalisation de notre participation à l’action publique et non violente du 29 mai 2011 qui visait à promouvoir une agriculture durable. 

    Après l’annonce, en mai 2012, de notre accusation d’association de malfaiteurs, un grand nombre de personnes issues des mouvements environnementaux et agricoles, des universitaires et des politiciens se sont déclarés «comparants volontaires » pour soutenir les 11 inculpé(e)s. De nombreuses organisations ont exprimé leur solidarité, des syndicats aux organisations paysannes, Oxfam et Greenpeace.

    Le jugement d’aujourd’hui engendrera encore plus de solidarité.

    L’action du 29 mai à Wetteren a été menée pour attirer l’attention sur les problèmes majeurs des OGM et les conséquences de leur introduction dans l’agriculture et la chaîne alimentaire. 

    Le 15 janvier dernier, nous avions avec nos avocats, quitté l’audience après le refus du juge d’écouter nos témoins et d’examiner nos preuves. Ces témoignages permettaient de souligner la nature politique de notre acte.

    Le tribunal avait aussi refusé d’inclure les comparant(e)s volontaires dans le procès. 

    Nous nous opposerons à ce jugement absurde!

    Nous demanderons un nouveau procès qui respecte les droits de la défense. 

     

    Nicolas Millet

    inculpé / faucheur volontaire

     

    Pour plus d’infos : https://fieldliberation.wordpress.com/

    Partager via Gmail

    1 commentaire
  • Source : http://www.lemonde.fr/vous/article/2013/02/01/la-mention-nourri-sans-ogm-boudee-par-la-grande-distribution_1825805_3238.html#xtor=RSS-3208001Le Monde.fr avec AFP | 01.02.2013 à 09h21 • Mis à jour le 01.02.2013 à 10h24

    Un an jour pour jour après la publication du décret autorisant la mention "Nourri sans OGM" sur les produits d'origine animale, entré en vigueur le 1er juillet, une enquête menée par l'association UFC-Que choisir démontre que ce nouvel étiquetage se fait très rare dans les grandes surfaces.

    L'association de consommateurs UFC-Que choisir a dénoncé, jeudi 31 janvier, la trop faible présence dans les rayonnages des grandes surfaces de produits d'origine animale portant la mention "Nourri sans OGM", malgré la forte demande des consommateurs. La grande distribution, épinglée par l'association UFC-Que choisir pour bouder l'étiquetage "sans OGM" entré en vigueur l'été dernier, fait valoir des arguments techniques pour se justifier.

    Selon son enquête dans 324 grandes surfaces, seules deux enseignes, Carrefour et Auchan, ont fait cet effort pour leurs produits de marques distributeurs, proposant tous deux "une véritable gamme de produits sans OGM".  Les autres "font quasiment l'impasse", souligne l'association, qui note également que la mention "sans OGM" ne porte que sur la volaille et les œufs, le porc, le poisson et parfois le veau.

    LES FILIÈRES D'ALIMENTATION SANS OGM MENACÉES

    "Est-ce qu'ils sont en train de faire des tests ou est-ce que cela ne les intéresse pas ?", s'interroge Olivier Andrault, chargé de missions au sein d'UFC-Que Choisir et responsable de l'enquête. "Il faut que les filières et les distributeurs se réveillent pour répondre à la demande des consommateurs", estime-t-il en réclamant "une nécessaire prise de conscience pour maintenir la diversité de choix". Car, insiste M. Andrault, les filières d'alimentation sans OGM sont "menacées". 

    "Alors que la réglementation européenne imposait aux Etats membres de signaler les produits contenant des OGM, elle laissait à leur discrétion la possibilité de signaler les produits 'sans'", rappelle Anaïs Fourest, responsable du dossier OGM à Greenpeace France.

    Globalement, il reste difficile pour le consommateur de savoirtrouver ces produits dans 86 % des magasins, faute de signalétique suffisante, note l'étude. Cela est "d'autant plus regrettable" que l'UFC ne relève pas de différence de prix avec les produits conventionnels, selon un relevé effectué entre les 14 et 18 janvier sur le site Internet de 1 653 magasins "drive" de la grande distribution.

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Source : http://aquitainedecroissance.org
     


    Le lasagne est une technique issue du compostage sur place et de la permaculture.

    Le sol n’a pas besoin d’être bêché, il suffit d’avoir passé la tondeuse ou arraché les herbes hautes. On commence par mettre 2 couches de cartons sur le sol en les faisant se chevaucher pour éviter la levée d’adventices. Puis on fait des couches comme une lasagne, avec alternativement des composants « verts » (tontes de gazon fraîches, « mauvaises herbes », déchets de cuisine…) et des composants « bruns » (broyats de branches, cartons, tontes de gazon sèches, paille, feuilles mortes).

    En terme d’organisation, il est utile de stocker le « brun » par définition plus facile à conserver et à faire des lasagnes dès que vous avez du « vert ».

    Pour terminer, une couche de terre ou de terreau complète le lasagne. Attention à ce que le lasagne ne soit pas bombé, car il s’effondrerait.

    On peut commencer à planter en mélangeant le plus possible les variétés de légumes et de fleurs pour assurer une biodiversité qui protège des maladies et des appétits indésirables.

    On utilise la technique du dropping qui consiste à jeter au hasard les plants ou les graines sur le lasagne pour obtenir un effet de plantation naturel.

    Jean-Paul Collaert, qui a écrit « l’art du potager en carré », a fait une démonstration de cette technique le 20 Juin 2009 à l’occasion des portes ouvertes du « Chênelet », un Jardin de Cocagne situé près de la côte d’opale. Il a constaté que les plants se développent plus vite sur le lasagne que lors d’une plantation classique.

    ………………………………………………………………

    La plantation sur lasagne est une technique revendiquée également par l’américaine Patricia Lanza.

    L’histoire raconte qu’elle souhaitait entourer d’un jardin son auberge dans les monts Catskill. Mais le sol, composé de rochers et d’argile, était impossible à travailler, même à l’aide d’une pioche hache. Elle a alors essayé avec un motoculteur qui a été rapidement endommagé par les rocs. Découragée, elle allait abandonner l’idée d’un jardin quand, se promenant dans une forêt voisine, elle eut une révélation. « J’y ai découvert comment la nature arrivait sans motoculteur à faire pousser des plantes, simplement en utilisant les couches de feuilles et autres résidus végétaux tombant au sol et se décomposant ». A partir de cette constatation, elle essaya de reproduire ce mécanisme naturel dans son jardin. Elle commença par disposer sur le sol des cartons et des journaux pour étouffer les mauvaises herbes. Puis elle ajouta une bonne couche de tontes de pelouse, de feuilles mortes, de paille et enfin de fumier de cheval. Puis elle recouvrit le tout de tourbe. Le tas mesurait près d’un mètre ! Mais au fil des semaines il se tassa et quand il atteignit 30 cm, elle y sema des légumes. Quelle ne fut pas sa surprise de les voir pousser très rapidement, sans mauvaises herbes et avec peu d’arrosage.

    Cependant on peut remonter aux temps des templiers qui maitrisaient parfaitement l’art du compostage en place.

    En 1969, le Français Laurent Dailliez, chercheur en histoire médiévale au C.N.R.S., et Jaime y Mora y Aragon découvrent, dans le grenier d’un curé de Trujillo (Espagne), un manuscrit du 12e siècle de la Commanderie des Templiers d’Alcanegre. Dans ce document, on trouve notamment la description de la fabrication de huit différents composts de broussailles (appelés « vivus humus » par les Templiers). Curieux de voir la renaissance de cette pratique culturale apparemment disparue, Laurent Dailliez fait connaître cette description au Français Jean Pain, alors gardien d’un immense domaine faisant partie de l’ancienne commanderie templière de Villecroze (Var) et au Français Armand Ell, négociant en vins naturels.
    C’est, lors d’un voyage professionnel dans le Midi, que ce dernier avait fait, fortuitement, la connaissance des deux autres hommes.

    Article lié: le compost des templiers

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Du nouveau dans le Tarn :

    Deux nouveaux points de vente où vous pouvez retrouver nos produits !

     

    * A Albi : "O Saveurs Paysannes" ....... des producteurs, rien que des producteurs ! Dès maintenant.

    (voir pièces jointes ici : 1 / 2 / 3)

    * A Castres : "L'Art et la Matière"  ....... des créateurs, rien que des créateurs ! Dès le 1er mars.

     (voir pièce jointe ici : 1)

    Bon courage à tous dans ces temps d'hiver, et au plaisir d'avoir vos commentaires sur ces deux magasins.

    Cordialement,

    E. BOISMARTEL

     

    SAFRAN DU TERROIR TARNAIS
    Yves et Eve BOISMARTEL
    Producteurs de Safran
    et Douceurs Safranées
    Les Galinières
    81360 MONTREDON LABESSONNIE
    Tel : 09.65.29.44.35
    safranduterroirtarnais@orange.fr

    Partager via Gmail

    votre commentaire