• Nous vous invitons à nous rejoindre nombreux sur le prochain:
    Carnaval associatif graulhétois du Samedi 02 mars 2013
     
    Rendez-vous 14h30 Place Jourdain, défilé de 15h à 16h dans le centre-ville, goûter et animations de 16h à 17 h Place Jourdain


    Des Crêpes, du chocolat chaud avec la cuisinette mobile du Centre social, des animations avec des vélos trafiqués par l'association Frog and Rock, des petites démonstrations par les élèves de l'école de cirque Pistil et du poney-club Poney City, brûlage du Bonhomme carnaval confectionné collectivement , musique avec La Batucada: Cet orchestre percussif (style maracatu, samba-reggae) sera emmené par notre ami  Eder Paiva, musicien professionnel tarnais d'origine brésilienne qui a mis à la disposition des musicien(ne)s amateur(e)s graulhétois(e)s des tambours et  instruments traditionnels.
    En amont, le Centre social invite ceux et celles qui le veulent, à participer à un atelier de confection de costumes (réalisation de pétassous occitans: tuniques décorées de grandes bandelettes de couleurs vives)  le vendredi 1er mars
    de 14hà 16h  (gratuit)
    Egalement, les 28 février et 01 mars après-midi l'association Pistil propose deux demi-journées de stage de cirque (échasses, jongleries, trapèze...) et maquillage avec Claire de Arc en ciel et Compagnie pour les 8-13 ans (36€)

    Renseignements Carnaval: Pistil 05 63 41 74 51

     
    Partenaires: Centre social caf de Graulhet, Associations Frog and Rock, Poney City, Pistil,
    Projet soutenu par la Mairie de Graulhet

    --
    Muriel Garin
    www.pistilcircus.com
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  • Synopsis :

    La France produit et exporte du maïs. En été, cette culture consomme jusqu’à 80% des réserves d’eau et assèche les rivières. Les réserves de substitutions qui prélèvent l’eau l’hiver sont-elles une solution ? N’y a-t-il pas d’alternative à cette culture et à cette agriculture intensive ?

    À travers le portrait de deux agriculteurs, l’un, céréalier en Vendée en GAEC à quatre associés sur 500 hectares dont 120 de maïs irrigué, l’autre en Charente-Maritime reconvertissant 140 hectares en polyculture et élevage bio, ce film pose le problème de la politique agricole du "tout maïs" et de ses conséquences économiques et écologiques.

    http://voiretagir.org/POUR-QUELQUES-GRAINS-D-OR.html

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  • Info en partage : salon des bières et des vins 13 & 14 avril 2013 à Brasserie des Vignes de Graulhet !

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  • Info en partage : Gérard Foucher dans le tarn, ça se précise !

     

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  • Source : http://lutteaeroportnddl.com/2013/02/17/notre-dame-des-landes-et-larnaque-des-compensations-environnementales-une-caution-verte-pour-le-beton/

    Que ce soit au regard de la biodiversité ou au titre de la loi sur l’eau, AGO (Aéroports du Grand Ouest) et l’État présentent de multiples mesures visant à compenser la destruction irréversible de la ZAD. La compensation est la dernière étape d’un triptyque ÉviterRéduireCompenser. S’il nous semble évident que la construction de cet aéroport devrait avant tout être évitée, la Déclaration d’Utilité Publique (DUP) a permis aux « opérateurs » d’avancer jusqu’à l’étape Compenser. Cette démarche est présentée comme « innovante » et plusieurs éléments laissent penser que l’expérience tentée ici, devrait devenir un modèle pour d’autres grands projets en France. En effet, la méthodologie, commune aux dossiers biodiversité et loi sur l’eau, est proposée par le plus gros bureau d’étude environnemental en France, Biotope. Pourtant, cette méthodologie est critiquable sur de nombreux aspects, aussi bien sur le fond que sur la forme. C’est pourquoi, nous avons créé un groupe de travail, les décompenseurs en lutte, pour tenter de mettre au jour les menaces d’une telle approche, tant pour Notre-Dame-des-Landes que par la « flexibilisation » destructive qu’elle permettrait ailleurs en France.

    Voici quelques points sur lesquels nous pensons travailler.

    1. La compensation écologique repose sur l’illusion que l’ingénierie et la toute puissance de la technologie permettront de restaurer de la nature. Des études empiriques démontrent pourtant que la restauration de zones humides ne permet jamais de retrouver la biodiversité et les fonctions écologiques des zones naturelles. Cette arrogance technophile est particulièrement inquiétante. Peut-on croire que la techno-science va réconcilier croissance et nature ?

    2. La compensation se fait en tranches, après un découpage technocratique : seules les espèces protégées sont considérées, seules certaines « fonctions » écologiques, sont considérées. L’entité que forme l’écosystème détruit n’est pas compensée en tant que telle comme un tout cohérent attaché à un territoire et des pratiques agri-culturelles, mais morceau par morceau. Ces morceaux sont compensés séparément en ignorant leur interdépendance et leur degré de connexion. Peut-on déplacer la nature comme on déplace des voyageurs ?

    3. Sur la base de hiérarchies fonctionnelles et de biodiversité les différentes zones se voient attribuées des valeurs et des coefficients de « besoin compensatoire ». Ces coefficients varient de 0,25 pour les zones les plus « pauvres » à seulement 2 pour les plus « riches » (alors que le barème du Comité National de Protection de la Nature (CNPN) préconise des coefficients allant jusqu’à 5 ou 10). Peut-on se satisfaire de ces coefficients, non validés scientifiquement, qui apparaissent comme un bricolage permettant une « compensation » au rabais pour AGO et l’État ?

    4. La destruction occasionne une perte de nature immédiate et certaine, tandis que la compensation par des projets de restauration écologique (type « actifs de nature » qui sont une forme de spéculation) ne peuvent éventuellement compenser que de façon différée dans le temps et incertaine. Les mesures compensatoires proposées aussi bien pour l’aéroport que pour le barreau routier prévoient de l’acquisition foncière et des contractualisations (baux ruraux de 9 ans) avec des agriculteurs afin d’« améliorer » le bocage et les zones humides existantes en périphérie de la ZAD. Peut-on accepter qu’aucune garantie ne soit donnée quant à la sécurisation réglementaire de ces mesures dont la durée n’est ni à la hauteur de celle de la concession (55 ans) ni de celle nécessaire à la restauration écologique ?

    5. L’équivalence écologique nécessaire à l’échange est formalisée par des "Unités de Compensation" qui visent à rendre commensurables (c’est-à-dire comparables sur une même unité de valeur) des couleuvres et des chauves-souris. Ces unités de compensation peuvent être achetées par des banques d’un nouveau genre, des banques « d’actifs naturels » à l’instar de la CDC-Biodiversité. Partout en France de nouveaux opérateurs de compensation sont labellisés par l’État, autorisant des multinationales (comme Veolia ou Bouygues) à faire des profits supplémentaires grâce à ce nouveau marché compensatoire. Peut-on échanger des espèces et des fonctions écologiques sur des marchés comme des titres d’actifs financiers ?

    Si ce travail vous intéresse, entre visites de terrain et décodage de dossiers technocratiques, rejoignez-nous en contactant decompenseurs@gmail.com

    Anne, Arnaud, Audrey, Camille, Christophe, Marc, Philippe, Jean-Marie.

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  • Le savon de Naplouse

    La fabrication de savon est de tradition très ancienne dans la région du Proche-Orient qu’on appelle le bilâd al Châm (Nom donné à l’ensemble géographique constitué par la Syrie, le Liban, la Jordanie et la Palestine historique, qui constituait avant la Première Guerre Mondiale un sous-ensemble de l’Empire ottoman. Il s’agit d’un sous-ensemble dans un sens représentationnel, car le bilâd al-Shâm n’a jamais constitué une circonscription administrative ottomane).

    Cette tradition repose en premier lieu sur la culture de l’olivier. Que ce soit sur la côte ou dans l’arrière-pays, les centres de fabrication de savon sont tous d’anciens centres de presse des olives. La fabrication de savon est d’abord une production domestique et villageoise, à partir de l’huile restant de la production annuelle. Peu à peu se sont développés des centres citadins de production, des « villes du savon ». Les plus célèbres sont Alep en Syrie, Tripoli au Liban, et Naplouse en Palestine.

    Le processus de fabrication

    Le savon de Naplouse représente la permanence d’un savoir-faire traditionnel. Le Cheikh Al Rabûh al Dimashqî, mort en 1327, écrivait : "Naplouse est une ville où il fait bon se promener (...) Dieu très haut et tout-puissant l’a comblée de l’arbre béni, l’olivier, et son huile est transportée dans les régions égyptiennes, et du Levant et au Hedjaz (...) dans des caravanes, (...) et on en fait un savon délicat, transporté jusque dans les îles de la Méditerranée."


    C’est à partir de cette huile d’olive qu’est fabriqué le savon de Naplouse. A l’époque de l’occupation des Croisés (où cette industrie fut un temps monopole du roi), Naplouse acquit, une renommée grandissante pour la qualité de son savon, qui surpassa celle des autres villes de Palestine, et devint un centre important de fabrication régionale.

    Les Croisés se seraient tellement intéressés à cette activité qu’ils auraient rapporté le procédé de fabrication du savon en Europe jusqu’à la ville de Marseille, où s’est développé une industrie du savon à l’huile d’olive qui ressemble au savon produit à l’époque dans le bilâd al Châm.

    Tout au long de la période ottomane, l’industrie s’est développée pour se transformer en industrie citadine et florissante, avec l’acquisition par les grandes familles de la ville (vieilles familles citadines tout d’abord, puis familles de grands négociants) de bon nombre de savonneries situées en centre-ville.


    Philistin.fr | Fipsouk.fr

    Savoir faire & Patrimoine de Palestine

    Route de Rodez | 12630 Montrozier

    Tel : 05 65 73 11 23

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  • Télécharger le flyer ici !

    Pour participer à l'organisation

    • Participation aux commissions d'organisation
    • Distribution d'affiches et de catalogue
    • Montage /démontage de la foire
    • Cantine - buvettes - toilettes sèches - nettoyage
    • Jardin -jeux - atelier pain
    • Accueil - stands N&P

    Inscrivez vous auprès de Nature & Progrès Tarn : benevoles@listes.nptarn.org - Tél. 05 63 57 60 00
    Bulletin d'inscription : bulletin.doc - bulletin.pdf

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