• Dossier de synthèse : de nombreux soutiens pour dénoncer un projet incohérent, et demander d'autres améliorations

    (télécharger le comuniqué complet en cliquant ici !)

    Le projet autoroutier Castres – Toulouse fait l’objet d’une réévaluation par la commission de révision du SNIT
    (Schéma National des Infrastructures de Transport), mise en place à l’automne dernier par le Ministre délégué chargé
    des transports, Monsieur Cuvillier, précisant que les travaux de la commission Mobilité 21 devront "tenir compte de la
    priorité que le Gouvernement entend donner aux transports du quotidien et à la rénovation des réseaux existants, …
    permettant d'améliorer à court terme le service rendu aux usagers".

    Par le biais d'un questionnaire de la commission, un dossier à charge [1] sur l’autoroute Castres – Toulouse, complet et argumenté, a été transmis à la commission le 25 janvier, et aux présidents des 3 collectivités territoriales concernées (Conseils généraux du Tarn et de la Haute-Garonne, Conseil régional).

    L'autoroute ne fait pas l’unanimité, et le dossier à charge [1] est porté par de nombreux élus et
    formations associatives et politiques, tous préoccupés par l'intérêt collectif et celui du sud Tarn.

    Le porte-parole du collectif RN126 (Frédéric Manon) résume leur position commune : « Ce questionnaire [1] est un
    outil particulièrement efficace pour pointer les véritables incohérences et anomalies de ce projet, que ce soit sur les
    hypothèses de travail obsolètes utilisées par la DREAL, le coût du projet et de la subvention d’équilibre sous-évalués, les prévisions de trafic surréalistes, l’inadéquation au besoin des déplacements quotidiens, les risques financiers et socio-économiques pour le sud Tarn, l'impact agricole et écologique. ».

    Et de poursuivre avec l’exemple de l’A65 Langon - Pau : « Castres – Toulouse est un futur Langon - Pau [2], un
    trafic ridicule, un péage exorbitant, un déficit abyssal de la concession que les collectivités territoriales, donc nos
    impôts, devront à terme renflouer. Un gouffre financier bien au-delà de la subvention demandée. ».

    Des alternatives existent, alternatives routières en complément de l'augmentation des cadences ferroviaires
    vers le centre de Toulouse, et de la création d'un service d'autocars efficace et diversifié vers les zones
    périphériques de l'est au sud toulousain. Un aménagement de la route existante, parmi d'autres, est proposé dans ce
    dossier.

    L'amélioration des transports en commun et du réseau routier existant s'impose, plus adaptée,
    plus raisonnable, plus rapide, au service de l'intérêt collectif et du développement du sud Tarn.


    [1] : Accès aux réponses du questionnaire Mobilité 21 : cliquer ici
    [2] : L’A65 Langon - Pau, ouverte en 2010, déficit de 35 M€ en 2011 (et a priori aussi en 2012) en raison
    d’un trafic très faible. Soit en un an, le tiers de ce que coûte l'amélioration pré-étudiée de l'existant.

    (télécharger le comuniqué complet en cliquant ici !)

    COLLECTIF RN126 - 06-88-52-83-57 - collectif.RN126@yahoo.fr -

    http://www.RN126.free.fr
    En PEYRUC – 81470 LACROISILLE

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  • A l'occasion de la journée mondiale des zones humides, le CPIE lance aujourd'hui la 2e édition de son opération de sensibilisation à la préservation des amphibiens.

    «Un dragon ! Dans mon jardin ? » Lancée l'année dernière par le Centre permanent d'initiative pour l'environnement (CPIE) des pays tarnais, l'opération de sensibilisation à la préservation des amphibiens est renouvelée en 2013. Car les amphibiens sont «les vertébrés les plus menacés de la planète». La 2e édition débute aujourd'hui, à l'occasion de la journée mondiale des zones humides.

    Il s'agit de signaler au CPIE les sites où vous avez aperçu des amphibiens. Le concours photo du «plus beau dragon» commencera le 15 février et la remise des prix aura lieu mi-juillet. L'objectif est de sensibiliser le grand public et d'obtenir des données scientifiques. «Cela permet de vérifier les espèces du département et même d'en trouver de nouvelle ! Grâce au signalement d'une dame nous avons découvert une tarente de Maurétanie à Carmaux. C'est la première information scientifique du Tarn validée par photo. La donnée devient donc fiable !», se réjouit Jennifer Mareschal, chargée de mission CPIE. Sachant que sur 39 espèces d'amphibiens, 12 ont déjà été recensées dans le Tarn en raison des nombreux fossés, marées et abreuvoirs.

    Info en partage : Sauvez les amphibiens...

    Le CPIE poursuit l'opération de sensibilisation en organisant des «soirées amphibiens» afin d'expliquer aux particuliers leurs caractéristiques de vie et leur importance pour l'écosystème. S'en suit une sortie nocturne pour observer le milieu et capturer l'amphibien selon «un protocole d'hygiène très strict». Des autorisations particulières ont été demandées à la direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement (DREAL) car les espèces sont protégées.

    Enfin, Jennifer Mareschal intervient également dans 10 écoles pendant trois demi-journées avec pour message «soyez prêts à observer les amphibiens et à les sauver».

    Les photos sont à envoyer par mail à obs-amphibien@cpie81.fr. Plus d'informations au 05 63 59 44 33 ou sur www.cpie81.fr.

    Maryne Vialette

    http://www.ladepeche.fr/article/2013/02/02/1551161-sauvez-les-amphibiens.html

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  • Les dérives de la bio

    02.02.2013 - 07:05

     

    Avec Philippe Baqué et Pierre Besse, co-auteurs de "La bio, entre business & projet de société" (Agone, 2012)

    Fédération Nature et Progrès :

    http://www.natureetprogres.org/

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    En cliquant ci-dessous, retrouvez la revue de web environnement d'Anne Gouzon, de la Documentation de Radio France :

    REVUE DE WEB : ENVIRONNEMENT – 01/02/2013

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    Document(s)

     

    http://www.franceculture.fr/emission-terre-a-terre-les-derives-de-la-bio-2013-02-02

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  • Les bâtiments de bureaux et les commerces ne devront plus être éclairés toute la nuit, provoquant une pollution lumineuse régulièrement dénoncée et un gaspillage coûteux. 


    Un arrêté de Delphine Batho, la ministre de l’Ecologie, du développement durable et de l’énergie, publié mercredi, limite en effet fortement ces éclairages.

    Dès le 1er juillet 2013, les lumières des locaux de bureaux ou à usage professionnel devront être coupées une heure après leur fermeture tandis que les éclairages des vitrines des commerces et des façades de bâtiments seront éteints au plus tard à 1h du matin. Les éclairages des façades des bâtiments ne pourront être allumés avant le coucher du soleil. Ce dispositif doit permettre de réduire l’empreinte de l’éclairage artificiel sur l’environnement nocturne et constitue également une mesure de sobriété énergétique.

    Les économies d’énergie attendues équivaudront en effet à la consommation électrique annuelle d’environ 750 000 ménages et permettront d’éviter le rejet de 250 000 tonnes de CO2 par an. Des dérogations seront possibles la veille des jours fériés chômés, à  Noël, lors d’événements exceptionnels à caractère local, ou dans des lieux présentant un intérêt touristique exceptionnel. Selon le ministère, cet arrêté fait de la France « l’un des pionniers en Europe dans ce domaine »

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