• A télécharger ici !

     

    SAFRAN DU TERROIR TARNAIS
    Yves et Eve BOISMARTEL
    Producteurs de Safran
    et Douceurs Safranées
    Les Galinières
    81360 MONTREDON LABESSONNIE
    Tel : 09.65.29.44.35
    safranduterroirtarnais@orange.fr

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  • L'huile d'olive dans tous ses états et sous toutes ses formes

    bidon 4 litres | bout. 75 cl | 50 cl 

    Info en partage : Fipsouk, le retour des bidons d'huile d'olive !

    Un format plus économique. L'huile dolive vierge de Palestine est extraite du fruit en première pression à froid, elle révèle un arôme et un caractère extraordinaire. A utiliser sans aucune modération. Cette huile dolive est originaire principalement du village de  Marda. Les olives sont récoltées, triturées, puis lhuile est mise en bidons et conditionnée dans le village dAwarta, par les paysans et leur famille.

     


    Marda, une histoire palestinienne

    Le petit village de Marda, d’une population avoisinant les 2000 habitants, est situé à 9 km au nord de Salfit, au centre de la Cisjordanie. Des 9000 dunums qu’il possédait en 1978, le village en a perdu 58% du fait des terres volées par les colons, pour la construction de routes uniquement utilisées par les colons et par la construction du mur.

    Il est unique en son genre en Palestine, du fait que la plupart de ses habitants ont vécu au Vénézuéla et parlent donc couramment l’espagnol et l’arabe. Comme le reste de la province de Salfit, l’agriculture est à la fois la principale source de revenus et le symbole de la culture palestinienne. Chaque famille possède des terres autour du village, la plupart des habitants sont principalement des paysans. Du fait de la présence de la colonie illégale d’Ariel, les villageois vivent depuis 30 ans, un véritable calvaire, ne leur laissant que peu d’espoir pour un meilleur futur.

    Les 80 % de la force de travail du village dépendaient du travail en Israël avant le début de la seconde Intifada, alors que les autres 20 % dépendaient de l'agriculture. D'après le maire du village, le taux de chômage a dépassé les 50 % depuis qu'Israël a durci les conditions de délivrance de visa aux ouvriers palestiniens et depuis la construction du mur. Aujourd'hui, grâce à UAWC, les producteurs d'huile d'olive retrouvent un minimum d'espoir. L'Union des Comités de Travail Agricole les aide à exporter leurs huile à l'étranger ainsi qu'à se défendre contre la justice israélienne qui refuse toujours de leur rendre leurs terres. Grâce aux différentes formations proposées par UAWC, les producteurs d'huile d'olive ont pu se perfectionner et sont capables de produire une huile aux normes exigées par les pays importateurs. Tellement bonne qu'elle est arrivée première aux tests de qualité réalisés par la société japonaise de soutien au commerce équitable Jetro.

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  • Bonjour,

    Au plaisir de vous présenter en téléchargement ici le crayonné final de l'affiche du salon des bières et du vin avant la mise en couleur....

    Et en plus le blog revit...
    http://brasseriedesvignes.blogspot.com/

    Stéphane Dumeynieu                                                                                                        
    Gérant & Brasseur

    BRASSERIE DES VIGNES

     Coordonnées & Contact

    Brasserie Des Vignes, Fabrique de bières sous mention Nature & Progrès

    9 avenue Marcel pagnol
    81300 GRAULHET, TARN (81)

    06.22.38.16.10

    Siret: 480953892 - Code APE: 1105Z

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  • Source : La Dépêche.

    Un atelier éducatif original est proposé au centre Plein Ciel, 101 chemin des fontaines, ce printemps sur le thème «Se parler pour que les enfants écoutent et écouter pour que les enfants parlent». Il sera conduit par Corinne Penez, formatrice et consultante spécialisée en communication Interpersonnelle, gestion positive des conflits et relations non violentes.

    Un cycle de travaux le samedi de 9h30 à 12h permettant de faire l'acquisition de nouvelles méthodes de communication pratiques et efficaces ainsi que d'outils concrets basés sur l'écoute mutuelle, le respect et la confiance. Ce cycle s'adresse aussi bien aux professionnels de l'enfance qu'aux parents qui se trouvent confrontés à des enfants aux prises avec des sentiments pénibles, pour inviter les enfants à coopérer, pour remplacer la punition par une sanction à valeur éducative, encourager l'autonomie et aider à la résolution de conflits.

    Le cycle d'ateliers vise à acquérir des compétences pour faire sortir l'enfant des rôles qu'ils jouent et qui les bloquent. Un cycle payant tout de même (95€) pour lequel il faut s'inscrire auprès de Corinne Penez : 06.31.74.20.57 corinne-penez@orange.fr

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  • Bonjour,

    Comme nous vous l’annoncions en novembre dernier, nous organisons un repas au lycée hôtelier de Mazamet le jeudi 21 mars 2013.

    Ce repas sera animé par « Triolet » composé de trois jeunes étudiantes en musicologie au Mirail à Toulouse : Alix (violon), Estelle (violoncelle), Clémence (piano). Nous sommes certains qu’elles sauront ajouter une ambiance particulière au repas de qualité cuisiné et servi par les élèves de cet établissement mazamétain.

    Nous vous prions de trouver en cliquant ici un bulletin de réservation ainsi que le menu.

    Nous vous rappelons que le repas sera servi par les jeunes élèves du Lycée Hôtelier à partir de 19 heures et que le nombre de convives est limité.

    En vous attendant nombreux,

    Cordialement,

    Sylvette EGRON

    (trésorière du groupe local d'Amnesty International)

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  • Info en partage : Projection-débat "Des abeilles et des hommes" le 21/03/13 - Cinéma Le Lido à CASTRES !!!

     

    Rencontre à l'issue de la projection avec Daniel Bonnafous Apiculteur professionnel à Saïx depuis 25 ans. 

    Président du syndicat départemental d'apiculture ( l'abeille Tarnaise) qui compte plus de 350 adhérents.

    Membre du bureau de l'Union Nationale de l'Apiculture Française structure qui regroupe les syndicats départementaux ou associations apicoles.

    Tarif unique : 5 € la place

      

    J'y serai si tout va bien... et vous ? Cela serait bien de s'entendre pour venir en groupe !

    N'hésitez pas à faire circuler l'info autour de vous et au plaisir je l'espère de vous revoir !

    NAT

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  • par Eric MEUNIER, Frédéric JACQUEMART

     

    Depuis 2012, les États membres discutent avec la Commission européenne d'un règlement qui établira juridiquement la procédure d'évaluation des risques sanitaires des plantes génétiquement modifiées (PGM) avant autorisation. Le lundi 25 février, les États membres, dont la France, discuteront d'une nouvelle version de ce règlement, présentée par la Commission européenne [1]. L'ordre du jour annoncé prévoit la possibilité que ce règlement soit voté, ouvrant ainsi la porte aux autorisations de PGM en attente.

    Les autorisations de PGM à la culture ont été de fait suspendues depuis décembre 2008 par la Commission européenne (à l'exception de l'autorisation donnée pour la pomme de terre Amflora de Bayer après pressions de l'entreprise [3]) jusqu'à l'adoption de nouvelles lignes directrices censées améliorer l'évaluation des risques sanitaires. A ce jour, une soixantaine de dossiers de demande d'autorisation sont en attente, dont 27 pour la culture. Les autres dossiers concernent l'importation.

    Si, après plusieurs mois de discussions, la Commission européenne a finalement établi le caractère obligatoire pour les entreprises de conduire des analyses de toxicologie [4], cette obligation ne s'appliquera qu'aux PGM dont la demande d'autorisation aura été déposée six mois après l'adoption de ce règlement. Tous les dossiers aujourd'hui en attente ainsi que ceux qui auront été déposés d'ici l'adoption du règlement ne seront donc pas concernés. Un paradoxe important puisque, en proposant ce règlement qui contient certaines améliorations, tant la Commission européenne que l'Autorité européenne de sécurité des aliments (AESA) reconnaissent que l'évaluation des risques telle que conduite jusqu'à maintenant est insuffisante. Mais cette évaluation insuffisante continuerait donc de présider aux dossiers en cours.

    Il faut noter que les améliorations apportées à l'évaluation des PGM par le règlement proposé ne sont pas liées à une évolution scientifique récente. Il en est ainsi de la puissance statistique des analyses présentées par les entreprises : elle devra dorénavant être suffisante, ce qui n'est pas le cas actuellement, comme nous avons déjà eu plusieurs fois l'occasion de le préciser [5]. Or ce point de la puissance statistique est un domaine vieux de 80 ans, donc bien antérieur au dossier des PGM. Si les entreprises présentant ces analyses ne sont pas juridiquement contraintes de suivre les lignes directrices actuelles (c'est-à-dire avant l'adoption du règlement en cours), elles sont par contre dans l'obligation d e présenter une évaluation correcte, quelle que soit la méthodologie qu'elles choisissent pour cela. Une obligation qui justifierait que le nouveau règlement s'applique aux dossiers en cours, d'autant qu'il s'agit d'une question de santé publique !

    S'il était adopté en l'état le 25 janvier 2013 par les États membres, ce règlement conduirait donc à une amélioration de l'évaluation d'une minorité de dossiers éventuellement déposés dans le futur et à la validation massive de tous les dossiers en cours. C'est donc ainsi que répond la Commission européenne à la demande unanime des États membres de décembre 2008 qui avait requis un renforcement de l'évaluation. La position de la France sera particulièrement suivie, le gouvernement pouvant choisir de demander à ce que ce règlement suive une logique politique de santé publique : qu'il soit appliqué aux demandes d'autorisation en cours !

    Autorisation des OGM : (...)

    Autorisation des OGM : comment ça se passe ?
    Les entreprises qui demandent une autorisation pour commercialiser une PGM déposent un dossier auprès de l'Union européenne. Ce dossier contient un descriptif de la plante modifiée, de l'évènement de transformation inséré et de la ou des nouvelles caractéristiques ainsi que plusieurs analyses comme des analyses de toxicologie, d'alimentarité ou d'allergénicité. Le contenu du dossier est aujourd'hui établi par le biais de la directive 2001/18 et des lignes directrices publiées par l'AESA. Ces lignes directrices n'ont aucun caractère contraignant mais leur non respect quant au contenu du dossier (et non quant à la qualité des analyses conduites comme Inf'OGM l'a montré dans sa dernière publication [6]) conduirait les experts à renvoyer le dossier à l'entreprise. Ce dossier passe alors entre les mains des experts européens et nationaux qui fournissent à leur autorité politique de tutelle (la Commission européenne ou les gouvernements nationaux) leur avis sur le dossier fourni. Sur la base de cet avis, la Commission européenne propose aux États membres d'autoriser la PGM en question, dans le cadre d'un vote devant atteindre une majorité qualifiée. En cas d'absence de majorité qualifiée, c'est à la Commission européenne que revient la décision finale. Ce qui a toujours été le cas jusqu'à présent. Aucune PGM n'a obtenu de majorité qualifiée ni pour, ni contre... Une autre faiblesse, démocratique celle-ci, du dossier.

    [1Le réglement proposé aux Etats membres

    [2]  @@SPIP_ECHAPPE_LIEN_1@@

    [3Inf'OGM, « UE - OGM : la pomme de terre Amflora autorisée à la culture », Christophe Noisette, Eric MEUNIER, 2 mars 2010

    [4Inf'OGM, « UE - Analyse du caractère (non) obligatoire des études de toxicologie », Inf'OGM, 11 décembre 2012

    [5Jacquemart, F. « Évaluation des OGM : les experts tournent le dos à la science », ed. Inf'OGM, 2012

    [6Jacquemart, F. « Évaluation des OGM : les experts tournent le dos à la science », ed. Inf'OGM, 2012

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