• Bonjour à tous !   J'espère tout d'abord que la rentrée n'a pas été trop difficile, (perso, no comment !), alors j'ai pensé qu'un peu de fromage fermier, (SVP !), vous donnerait un peu de baume au coeur !

    J'ai trouvé un lien intéressant où on peut commander du VRAI fromage de montagne, (commande groupée de préférence pour alléger les frais de port), alors si ça vous dit, ben vous me dites, je vais aussi faire passer le message aux membres de mon Amap légumes !  


    Miam, ça a l'air bon !!  

    De grosses bises à tous et à très bientôt donc, au plaisir de vous retrouver lors de la prochaine distribution !  
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  • Source : Nouvel Obs

    EXCLUSIF. Oui, les OGM sont des poisons !

    Créé le 18-09-2012 à 00h19 - Mis à jour le 20-09-2012 à 11h27

    Des chercheurs français ont étudié secrètement, pendant deux ans, 200 rats nourris au maïs transgénique. Tumeurs, pathologies lourdes… une hécatombe. Et une bombe pour l'industrie OGM.

    (Cet article paraît dans le "Nouvel Observateur" daté du 20 septembre 2012) 

    C’est une véritable bombe que lance, ce 19 septembre à 15 heures, la très sérieuse revue américaine "Food and Chemical Toxicology" - une référence en matière de toxicologie alimentaire - en publiant les résultats de l’expérimentation menée par l’équipe du français Gilles-Eric Séralini, professeur de biologie moléculaire à l'université de Caen. Une bombe à fragmentation : scientifique, sanitaire, politique et industrielle. Elle pulvérise en effet une vérité officielle : l’innocuité du maïs génétiquement modifié.

    Lourdement toxique et souvent mortel

    Même à faible dose, l’OGM étudié se révèle lourdement toxique et souvent mortel pour des rats. A tel point que, s’il s’agissait d’un médicament, il devrait être suspendu séance tenante dans l’attente de nouvelles investigations. Car c’est ce même OGM que l’on retrouve dans nos assiettes, à travers la viande, les œufs ou le lait. 

    En 2006, c’est comme un véritable thriller que commence cette recherche, dont le maître d’œuvre, Gilles-Eric Séralini, divulgue lui-même les conclusions dans un ouvrage à paraître la semaine prochaine ("Tous cobayes !", Flammarion, en librairie le 26 septembre).

     

    Lire la suite de l'article ici : http://tempsreel.nouvelobs.com/ogm-le-scandale/20120918.OBS2686/exclusif-oui-les-ogm-sont-des-poisons.html

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  • Lorsque l’on évoque l’île Maurice, les images qui viennent en premier sont celles du tourisme, des plages de sable fin et de soleil.

    Pourtant ce pays de l’océan Indien, d’une superficie de 1.866 kilomètres carrés, est l’un des plus grands exportateurs de sucre d'Afrique vers l'Europe, et une grande partie de son sucre raffiné est exporté vers l'Union européenne.

    Seulement, nous fait savoir l’agence de presse IPS (International Press Service), depuis deux ans, les fermiers mauriciens vivent un véritable chemin de croix, avec la chute de plus de 36% du prix du sucre.

    Et voilà, que plusieurs d’entre eux ont trouvé une parade pour pallier les mauvaises ventes. Ils ont décidé de cultiver la canne à sucre d’une manière «qui protège l’environnement de cette petite île des engrais et des produits chimiques nocifs», ajoute IPS. Mieux encore, ils se sont tournés vers le commerce équitable.

    «Nos revenus étaient en baisse. Alors, c’était mieux d’être certifiés pour le commerce équitable afin de gagner un peu plus d'argent», fait savoir Keshoe Parsad Chattoo, un fermier mauricien.

    Le commerce équitable est un mouvement social qui encourage la durabilité dans le monde en développement. Les produits étiquetés commerce équitable sont très prisés en Europe et aux Etats-Unis, parce qu'ils répondent aux normes internationales en matière environnementale et de respect de la main-d’œuvre.

    De ce fait, «les consommateurs sont prêts à payer plus pour les produits de bonne qualité, et cet argent supplémentaire va directement aux producteurs», explique Jean-Philippe Zanavelo, représentant de l'organisation Fair Trade International pour l'île Maurice.

    Environ 3.000 produits tombent sous cette étiquette, y compris le sucre, le café, les épices, la vanille et les bananes, ajoute IPS. Et, à l’île Maurice, le mouvement pour le commerce équitable a débuté en 2011, avec 4.500 agriculteurs de trente-deux sociétés coopératives.

    La première année, les agriculteurs ont fait des recettes de 701.000 dollars (environ 554.000 euros), par rapport aux 492.000 dollars de 2010.

    La démarche est donc toute jeune à Maurice, même si le commerce équitable est une pratique déjà ancienne. Et les fermiers mauriciens sont convaincus de détenir le bon filon pour faire des affaire en or.

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  • Rencontres Paysannes à LAUTREC- 14 et 15 septembre

    lors du Concours National des Labours

    Organisées par l’ADEART et l’association Ma Case (Cafe Plum)


    Vendredi 14 septembre - « D’où vient notre agriculture ? »

    19h Repas Paysan

    20h30 Extrait du documentaire « Les paysans, 60 ans de révolutions » (27 min) puis débat citoyen avec les témoignages de paysans tarnais


    Samedi 15 septembre - « Que seront les paysans demain ? »

    19h Présentation de Afterres, Scénario d’utilisation des terres agricoles et forestières pour satisfaire les besoins en alimentation, en énergie, en matériaux, et réduire les Gaz à effet de serre à l’horizon 2050 (Sylvain Doublet, Solagro)

     

    Suivi d’une discussion/débat avec l’intervenant

    20h30 Repas Paysan

    22 h concert gratuit les Z’Amours Z’agricoles (Cie FABULAX)

    Fantaisie satirico-sentimentale a capella autour des chansons de Ricet Barrier , tout public - 1h15

     

     

     

    Partenariat :


    ADEART

    Maison des associations

    Place du 1er Mai, 81100 Castres

    05 63 51 03 70

    adear.tarn@free.fr

    http ://jeminstallepaysan.org

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  • Le Dimanche 30 Septembre 2012 de 10h à 17h

    à la Salle des Fêtes de
    SAINT ANTONIN DE LACALM

    «Vers un autre modèle de consommation"

    PROGRAMME DE LA JOURNEE
    10h : Accueil des participants
    10h30/12h : Tables rondes :
    -Les Semences Paysannes avec Florence PELOUX.
    -La Vie des Amap du Tarn avec Astrid BOUCHEDOR


    Ateliers-enfants :
    - Jardinage avec les Jardiniers de France
    - Cuisine avec Aurore COLLADO


    12h : Apéro musical avec « Philomène Folk »
    13h : Repas partagé « Auberge Espagnole » et Buvette
    14h30 : Animation musicale
    15h/17h : Conférence-débat animé par Laetitia CAGNARD,
    Naturopathe et amapienne sur le thème : « Une bonne
    alimentation pour une meilleure santé ».
    15h/16h30 : Ateliers-enfants,
    - Jardinage
    - Cuisine avec Cyril Le Cornet


    Télécharger l'affiche pour la diffuser :

    Recto

    Verso

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  • Le projet  de retenue SIVENS sur le Tescou : un projet d’un autre siècle.
    Une autre gestion économe en eau est possible (voir article de la Dépêche ici !)
    Le  projet de retenue d’eau se situe sur une partie sauvage et préservée du Tescou le long de la forêt de Sivens dont une partie est située dans la ZNIEFF.  En aval du lieu-dit de Barat, d’une capacité de 1,5 Millions de m3, ses mesures approximatives sont : 2 Km de longueur,  225 m de large en moyenne, 42 ha de  surface et une profondeur moyenne de 3,3 m. Le Tescou prend sa source à Castelnau de Montmiral, affluent  de la rive droite du Tarn, de 49 Km, il s’y jette au niveau de Montauban.
    Ce projet ennoierait les 2/3 de la principale et dernière zone humide importante du bassin du Tescou appelée "zone humide du TESTET" et répertorié par le pôle zone humide du Conseil général du Tarn. L'autre tiers situé en aval du projet de retenue serait fortement perturbé.
    Pour visualiser la zone humide sur le site du pôle zone humide du Conseil général du Tarn, cliquez sur le lien ci-dessous, pointez votre souris sur la zone où apparaît "Bassin Versant du Tescou", cliquez sur l'icone "i" du menu puis cliquez sur la zone bleu la plus à droite.
    L’emprise du projet ennoie également un tronçon de la route CD 132 (route fréquentée) reliant la D999 à la C964 ainsi qu’une ligne électrique. Une restitution devrait être réalisée.
    Elle ennoie aussi des vergers porte-greffe de l'ONF, dont la valeur est très élevée.
    Elle enlève enfin des prairies naturelles utilisées pour la pâture d'éleveurs de la vallée. Des compensations devraient être prévues.
    La retenue doit servir à soutenir le débit d’étiage pour 25% de sa capacité) et l’irrigation (pour 75%) et à pour vocation de se vider durant l’été de 80% de son volume de stockage.
    Sur le territoire du bassin versant du Tescou et du Tescounet (affluent du Tescou), de nombreux lacs collinaires ont été réalisés dans les années 90, ce qui contribue à tarir le débit du Tescou en été. Il y a 184 retenues individuelles représentant 4,3 Millions de m3 et une retenue collective (Thérondel) de 0,8 Millions de m3.                                                                                                             
    Les périodes de déficits en eau ont conduit les pouvoirs publics, à travers les SDAGE  à établir des Plans de Gestion des Etiages (PGE) afin de rétablir l’équilibre entre les ressources en eau et les prélèvements (essentiellement pour les cultures irriguées), mais aussi de garantir un débit minimal de salubrité. Notamment  sur le Tescou : en 2004 le déficit a été estimé à 2,1 millions de m3 pour assurer un débit de 150 m3/s à St Nauphary. Le PGE de 2004 a prévu 2 phases de mise en œuvre avec 2 options : Création de la retenue de Thérondelle et la retenue de Sivens ou de l'hirondelle..  

    Le barrage de Thérondel  (800 000 m3) sur le Tescounet (petit affluent du Tescou) a été réalisé et mis en eau début 2010.

    Par contre, le projet de la retenue de Sivens connaît une avancée chaotique. 

    ·         En 1963 un projet d’immense lac de loisirs tombe … à l’eau.

    ·         Il renaît en 1989. La Compagnie d’ Aménagement des Coteaux de Gascogne (CACG) est chargée d’une étude technique de faisabilité pour la retenue de Sivens. Des oppositions locales, notamment les 4 agriculteurs présents sur le site empêchent toute reconnaissance de terrain.

    ·          En 1993 création de l’ « Association des irrigants du Tescou en Tarn et Garonne ».

    ·          En 2000 les Conseils généraux du Tarn et du Tarn et Garonne (instigateur de la renaissance du projet ) affirment leur intérêt à trouver des solutions de renforcement de la ressource en eau sur le bassin du Tescou. Durant toutes ces années des relances pour les études ont lieu (offensives fortes en 1993, 2000, 2006) accompagnées de quelques réunions de concertation très locales, restreintes. La CAGC réalise, en 2000, un étude qui justifie d'un besoin de retenues sur ce bassin versant.

    ·         En 2002 le CG du Tarn acquière la propriété de la « Métairie neuve » et ses terres.

    ·         En 2006 le CG du Tarn, décide de se porter Maître d’ouvrage pour le projet.

     

    ·         En 2007 la CG du Tarn attribue à la CACG la concession publique d’aménagement.

     

    ·         Les calendriers prévisionnels, établis par la CACG indiquaient des démarrages d’enquêtes d’utilité publiques  en 2008, 2009, fin 2010 -----, rien à ce jour. En effet les enquêtes d’utilité publiques sont reportées ; des compléments d’étude sont nécessaires afin de trouver des solutions techniques à des problèmes et  des contraintes qui émergent au fur et à mesure : le sous sol n’est pas propice à une retenue d’eau (peu de relief, pas assez d’argile, il faudra en amener, longue durée des  travaux), zone humide à restituer, passe à poisson et transit des alluvions nécessaires, présence d'espèces protégées, nécéssité de compenser la destruction de la zon humide.

    Le coût de ce projet, aujourd’hui d’environ 7 Million d’€ TTC (valeur 2007), cofinancé en principe par l’état, la région, l’Union Européenne et l’agence Adour Garonne à hauteur de 80 % ; reste 20 % à la charge des Conseils Généraux du Tarn et du Tarn et Garonne à répartir au prorata des surfaces irriguées dans chaque département (60 % Tarn et Garonne et 40 % Tarn, données à réactualiser).

    La société a évolué, prenant conscience qu’il faut préserver la ressource en eau, en quantité et en qualité. La législation l’a prise en compte et la France a souvent été épinglée au niveau de l’Europe. Nous savons que le productivisme agricole, les cultures nécessitant énormément d’eau comme le maïs consommant plus de 2000 m3 / ha, caractérisent des systèmes agricoles où l’érosion et la pollution (nitrates et pesticides) sont  maximales. Ce sont les défenseurs de cette agriculture eux-mêmes qui qualifient  le Tescou de «  rivière capricieuse dont les inondations sont redoutées à Montauban », en effet rien n’arrête l’eau, plus de haies, drainage, etc.  Agronomiquement c’est un désastre pour les sols.

    Concernant les pollutions conduisant à devoir assurer un débit minimal pour salubrité en périodes sèches, ne serait-il pas plus raisonnable de traiter les pollutions avant leurs rejets dans la rivière ?  La Loi l’obligera dans un proche avenir. Car c’est aussi sous couvert de vouloir restaurer un bon fonctionnement, ce qui est louable, de la rivière Tescou que ce projet est défendu. 

    Les quantités d’eau consommées n’ont cessé d’augmenter, en Midi Pyrénées : entre 1996 et 2005 les prélèvements pour l’irrigation ont presque doublé pour atteindre environ 1200 million de m3.  En périodes d’étiage, 80 %  de l’eau prélevée sert à l’irrigation.  Auparavant à travers la PAC les grandes cultures irriguées se sont trouvées  largement subventionnées (en 1999 dans la Vienne 300 F pour la prime à l’herbe et 3000F pour du maïs irrigué) sous injonction à développer le productivisme. Sans compter que les grands aménagements sont aussi financés par des deniers publics.
     Des alternatives existent :

    ·         Réduire les prélèvements d’irrigation: un certains nombre d’agriculteurs ont déjà changé d’orientation pour revenir vers une agriculture plus respectueuse de l’environnement. Ils ont d’autres pratiques culturales : élevage extensif en amont du Tescou, productions plus adaptées à ce territoire, nécessitant peu d’irrigation, des productions diversifiées …...

    ·         Pour limiter l’érosion : plantation de haies, pratique de labour peu profond, mise en place d’inter-culture en hiver des engrais verts qui fertilisent les sols.
    Les sols  riches en matière organique ont une meilleure rétention d’eau disponible pour les cultures.

    ·         Concernant l’ensemble des lacs collinaires, en 2014 selon la Loi sur l’eau de 2006, en périodes d’étiage, les débits des petits cours d’eau qui les alimentent devront rejoindre le Tescou.

    Les missions du Syndicat Mixte TESCOU-TESCOUNET sont en cohérence avec ces alternatives.

    Info complémentaire probablement corrélée : une situation particulière en Tarn et Garonne, en effet 75 % (20 % ailleurs) des prélèvements d’eau reviennent à l’industrie, surtout utilisés pour refroidir la centrale nucléaire de Golfech. en 2009 EDF SA a dépassé le volume maximum annuel d’eau de la Garonne qu’elle est autorisée à prélever soit :  44,3 Millions de m3 ont été évaporés, 2,3 Millions de m3 de plus que la limite légale. De plus le 18 janvier 2010, 450 m3 d’effluents radio actifs ont été déversé dans l’environnement. Une plainte concernant ces faits a été déposée par de nombreuses associations (dont Réseau Sortir du  Nucléaire). Les centrales nucléaires rejettent régulièrement en fonctionnement normal  dans la Garonne des éléments radioactifs et chimiques ainsi que  de la chaleur, rejets encadrés par la loi. Même si la retenue de Sivens  est surtout  destinée pour l’irrigation, en période d’étiage toutes les petites ressources peuvent être mises à contribution pour les besoins colossaux de Golfech.

    Le projet de Charlas étant abandonné, ce sont 63 retenues potentielles qui sont envisagées.

    Aucune réunion publique n’a eu lieu à Lisle sur Tarn même. La concertation a toujours été  très locale, restreinte aux seuls riverains, alors qu’elle devrait toucher l’ensemble de la population avant le lancement de l’enquête d’utilité publique.                                                                                                                                        
    Ce système voulant assurer des quantités d’eau toujours plus grandes  est sans  fin et sans fond  mobilisant de gros deniers publics. Ce système entraine de graves désordres écologiques ayant aussi des effets pervers sur le plan économique, social et politique.      
    Nous affirmons qu’une autre gestion de la ressource en eau est possible qui ne consisterait pas à détruire des zones humides qui fonctionnent bien pour « réparer » des méthodes de cultures accentuant les phénomènes de crues et de pénurie d'eau,  nécessitant des financements publics très élevés.
    Ce projet du Conseil général est en contradiction avec son agenda 21 dont son fort investissement pour protéger et valoriser les territoires fragiles que sont les zones humides.    
    Il y a matière à reconsidérer ce projet aujourd’hui.
    Il faut sauver la zone humide du TESTET dernière zone humide d'importance sur le bassin.

    Le collectif organiser une randonnée, Dimanche 7 septembre 2012, le long du Tescou pour la sauvegarde de la zone humide du Testet.
    Venez vous exprimer et participer à l'enquète publique, télécharger le tract ici ! :

     

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  • Véronique délaisse parfois son jardin pour se faire des suées autour du four... tartes, pizzas (voir article sur les marchés)... mais aussi du pain !

    Info producteur : reprise de l'AMAP Pain avec Véro, sur Castres !

    Elle reprend la saison de l'AMAP Pain LUNDI 3 SEPTEMBRE avec des livraisons, à priori, tous les lundis soir sur Lagarrigue, voir modalités avec elle !

    Le Jardin de La Grangette Véronique : maraîchère, boulangère-paysanne, cuisinière Téléphones : 09.53.37.44.57 06.77.45.43.91 email : lagrangette81@gmail.com Le Pré du Château 81260 - Cambounès

    Composé d'un pain moulé ou non de 1kg : 4,40 €/Kg et, ou, d'un pain aux graines de 500g : 5,50 €/Kg. Pain au levain naturel, fabriqué sur place avec de la farine biologique et locale. Blés issus de culture biologique, moutûre à la meule de pierre lente et respectant le germe de blé. Les pains spéciaux, graines de pavot, sésame, lin, tournesol, etc, sont garantis d'origine biologiques. Les pains sont cuits dans un four chauffé au feu de bois.

    A noter que c'est aussi l'occasion de prendre des oeufs à l'AMAP Oeufs "La Poule au Plo" (voir article qui en parle ici !)

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